Bien souvent des malchanceux ou des personnes qui ont fait un choix de carrière audacieux et controversé.
Pris au piège pour leur beauté et leur charisme naturel, nombre d’entre eux ne souhaitent pas vendre leur corps à la base mais tout sera mis en œuvre pour leur faire accepter la situation, bon gré mal gré.
Puis, il y a les autres ; les travailleurs du sexe novices ou confirmés qui avaient déjà un pied dans le milieu avant de prendre leurs quartiers au 7S. Certains le vivent comme une contrainte temporaire quand d’autres embrassent leur condition et apprécient redorer l’image du plus vieux métier du monde, à fortiori dans des conditions aussi idéales.

Au tout début, les rangs des Hanako ont surtout été garnis en piochant les meilleurs éléments dans les différents établissements de prostitution possédés par chaque clan fondateur du projet. En plus de garantir une certaine qualité de service dès le départ ; cela permettait aussi d’en faire des vétérans mieux à même de conseiller les nouveaux venus.
Désormais, les chasseurs de tête n’hésitent pas à recruter tous profils intéressants qui croiseraient leur chemin. Cela passe évidemment par une beauté physique sortant de l’ordinaire ou un charme particulier mais aussi par une situation précaire et/ou de grand isolement, les rendant également vulnérables et influençables. Ce serait prendre un risque inutile de s’attaquer à quelqu’un de bien entouré et épanoui dans sa vie car sa disparition soulèverait forcément des questions et alerterait les autorités compétentes.
Certaines familles peu scrupuleuses qui ont des comptes à rendre à l’un des clans n’hésitent pas non plus à “vendre” un proche qu’ils jugent sacrifiable pour effacer leur dette.
Evidemment, pour éviter de générer des soupçons ; aucune annonce de recrutement d'escortes n'est visible à l'agence Seven Wonders mais...il n'est pas exclu que des âmes "innocentes" venues postuler pour un job conventionnel se retrouvent...à grossir les rangs des Hanako après avoir été gentiment flouées.

Tous les Hanako vont bénéficier d’un accueil particulier et devront se plier à nombre d’examens avant d’être jugés opérationnels.
Chaque huitième jour du mois (en référence à la fête japonaise des fleurs "Hana Matsuri" célébrée le 8 avril au Japon) a lieu une session d'observation dans une dépendance de l'agence Seven Wonders présidée par Freya en personne. Y sont conviés tous les aspirants Hanako qui ont été repérés (ou placés là expressément par leurs familles) ces dernières semaines et auxquels on aura fait miroité un job de modeling/acting bien rémunéré...sans entrer dans les détails. Entre eux, les Meijin parlent parfois de Hayazaki (早咲き, floraison précoce) pour évoquer cet évènement.
Freya prendra la peine de s'entretenir en privé avec chacun d'entre eux, faisant plus ou moins durer les choses suivant l'intérêt qu'éveille le candidat en elle.
Cela permet à l'Entremetteuse de mettre un visage sur chacune de ses oyes et d'estimer leur potentiel réel en apprenant à les connaître voire en leur demandant de se dénuder (pour les futurs Tsubaki) histoire d'entrevoir plus clairement ce qu'ils ont à offrir.
Si certains seront congédiés après deux minutes de blabla, la plupart seront sélectionnés pour passer à l'étape suivante car les prospecteurs sont censés avoir déjà effectué un bon écrémage avant de présenter leurs "poulains" à Freya.
S'en suivra un bilan de santé le plus complet possible mené sur plusieurs jours au Bantry General Hospital pour faire le point dans tous les domaines importants qu'ils soient d'ordre psychologique, dermatologique, nutritionnel, dentaire, mais...surtout sexuel (gynécologie, urologie, proctologie). Si les résultats du bilan sont jugés satisfaisants, les futurs Hanako seront alors à même de signer toutes les clauses importantes les rattachant au Seven Sidh (dans lesquelles rien ne transparaîtra clairement quant à leur future captivité et leur obligation de se prostituer à termes) et on leur demandera de se trouver un "nom de scène", respectueux de la charte qui leur aura été communiquée au préalable. Le Service Ressources Humaines sera chargé de valider le pseudonyme choisi ou de proposer des suggestions en cas d'invalidité ou de manque d'inspiration du Hanako en devenir.
A partir de là, il est impossible pour le "candidat" de faire machine arrière.
On lui conseillera de préparer un packetage de taille moyenne pour investir sa nouvelle résidence de travail et il sera ensuite escorté par un Meijin garant sur An Rubha pour...ne plus quitter l'île avant un bon moment, sans forcément s'y attendre bien entendu.
Dans un premier temps, il sera conduit à la Maison Verte (son futur lieu de vie) où l'Intendante Dahlia (ou bien Freya dépendant des disponibilités de chacune) se chargera de l'accueillir et de prendre le relais. Après une visite des lieux et avoir montré sa chambre au nouveau venu ; on proposera toujours à ce dernier de prendre un thé de bienvenue...volontairement "assaisonné" d'un tranquillisant pour le préparer à la suite du programme.
S'il s'agit d'un homme, il sera renseigné plus avant sur ce qu'on attends de lui en présence du videur de la Seirô pour palier à toutes réactions...à chaud. S'il s'agit d'une femme, elle devra passer par une étape encore moins agréable avant et sera escortée jusqu'au Health Center pour se faire poser un implant ou un stérilet (dépendant de ce qui a été conseillé par les spécialistes de l'hôpital suite au check-up).
Une fois la pilule avalée et une bonne lucidité retrouvée ; les Hanako seront en mesure de recevoir leur principal outil de travail, à savoir leur tablette personnalisée Virtual Sidh (aux dimensions d’un smartphone standard).
Elle sera accompagnée d’une protection étanche, d’une pochette de transport renforcée (dont le motif fleuri diffère suivant leur grade d’appartenance, campanules bleues, camélias fuchsias ou lys araignée rouges), d’écouteurs sans fils et d’un câble de chargement.
Non moins important, le charme écarlate ; symbole des Hanako leur sera confié et ils auront le devoir de le garder accroché en évidence sur leur pochette ou autour du cou à la vue des Seikakuchaque fois qu’ils seront en service. Le charme prend la forme d’une amulette de prospérité chinoise décorée de perles et d’un pompon à frange rouge.

En cas de perte ou de détérioration de l’un ou l’autre de ces éléments, un Hanako doit prévenir l’Intendante le plus rapidement possible pour qu’il soit remplacé.

En plus du livret d’accueil leur détaillant le règlement intérieur du complexe et de la Seirô (Maison Verte), ils recevront également gratuitement un assortiment de produits d’hygiène et de cosmétiques étudiés pour eux, plusieurs vêtements (une tenue de parade semblable à un kimono aux couleurs chatoyantes et aux motifs fleuris, de la lingerie, une tenue de sport, un maillot de bain, plusieurs pyjamas, des zori en guise de chaussons, des getas de parade et une paire de chaussures supplémentaire), un petit coffret à bijoux avec plusieurs barrettes fleuries type kanzashi ou faites de perles, des ornements d’oreilles et au choix, un diadème discret, une broche…Le tout étant soigneusement étudié dépendant du grade et du genre auquel le Hanako s’identifie.

En tant que résident à temps complet, il leur sera également confié un kit d’hygiène en marge des produits comprenant brosses à dents, brosse et peigne adaptés à la nature de leur cheveu, serviettes de bain…(Pas de pince à épiler ni de coupe-ongles et encore moins de rasoir ; pour ce genre de retouche, ils doivent en référer à l’Intendante ou aller voir l’esthéticienne/le barbier).

Ils sont résidents permanents, et esclaves dans le sens le plus moderne du terme. Soumis à la totale autorité des Meijin.  

Les Hanako ne touchent pas de salaire fixe car le montant de leur rémunération dépend d’un certain nombre de paramètres à commencer par leur grade qui leur alloue une commission fixe de plus en plus importante. Cette commission sera ensuite forcément gonflée par leur effectif de locations mensuel. Plus les locations sont longues et/ou nombreuses, mieux c’est.
Au-dessus d’un certain seuil, la cote de popularité offre également un bonus de rémunération permanent.
En marge de leur salaire, les Hanako peuvent toucher des pourboires de la part des Seikaku et des Meijin (même si pour ces derniers, ça doit rester très ponctuel).
Pour vous donner une idée des salaires mensuels moyens de chaque grade des Hanako avec une popularité médiane : 500€ pour les Kikyo, 900€ pour les Tsubaki, 1200€ pour les Higanbana.
(Ils sont logés, nourris, blanchis et soignés aux frais de la princesse donc bien que leur rémunération semble faible, il faut se rappeler qu’elle ne sert qu’à leur agrément personnel sur place.)

Notez bien que toute location réalisée en “zone grise” n’est pas commissionnable et ne rapporte de fait rien au Hanako.
(Ce qu’on nomme la “zone grise” sur un planning correspond aux temps alloués au résident pour son repos/ses congés. Normalement, aucun créneau de location n’y est ouvert mais c’est une donnée que le Hanako peut facilement changer. Ne manquera plus qu’une double validation du côté du Seikaku et le créneau apparaîtra en zone grise, le tarif s’alignera sur ceux ayant eu cours précédemment dans la semaine.
Cela peut arriver en cas de quiproquo, de manque de vigilance du Hanako car certains oublient parfois de retirer leur charme écarlate quand ils sont de relâche.
Et comme le règlement le stipule, porter un charme signifiant automatiquement qu’on est disponible à la location, un Hanako n’a pas le droit de refuser une demande s’il l’arbore et qu’il est libre peu importe qu’il soit censé se reposer.
Dans de plus rares cas, les locations en zones grises se font d’un commun accord entre le Seikaku et le Hanako s’ils désirent tous deux passer du temps ensemble en marge de sa période de travail habituelle -car il est interdit d’avoir une relation non tarifée avec un Seikaku-. Pour pallier au fait que le Hanako ne reçoive aucune rémunération, le Seikaku lui verse alors souvent un pourboire conséquent en compensation. Pour plus de détails, se référer à la partie “Emploi du temps indicatif”).

Les Meijin encadrants au sens large mais plus particulièrement l’Intendante de la Seirô, Dahlia et évidemment Freya qui supervise les activités du quartier Luxuria.

Il s’agit de divertir romantiquement et charnellement les Seikaku, de s’arranger pour être un enchantement sensoriel perpétuel. Vous l’aurez compris, il ne s’agit pas uniquement de vendre une prestation sexuelle basique car le 7S a l’ambition de proposer bien plus que cela.
Les Hanako doivent non seulement répondre aux préférences sexuelles de leurs clients au mieux pour combler leurs fantasmes (ce qui induit de choyer autant les hommes que les femmes indépendamment de leur propre inclination sexuelle) mais aussi être en mesure d’offrir un divertissement de qualité en dehors de cette attribution. En tant que compagne ou compagnon d’un soir, ils doivent savoir mimer à la perfection un intérêt sincère pour les Seikaku, les pousser à la consommation et user pour cela d’une bonne dose de charme voire entrer dans un personnage qui est à des années-lumière de leur ressembler pour parvenir à cette fin.
Cela nécessite de savoir parfaitement s’exprimer, au moins en anglais et d’avoir de vraies propensions à jouer la comédie. Plus que se défouler sexuellement, ce que la plupart des Seikaku recherchent en côtoyant des Hanako, c’est d’être séduits, de devenir l’espace de quelques heures tout à la fois l’engrais et la rosée d’une fleur magnifique. Beaucoup sont en demande d’un lien privilégié, peu importe qu’il soit simulé et c’est au Hanako de lui donner corps et de faire en sorte que chaque Seikaku se sente spécial à ses côtés.

Absolument pas. Beaucoup de précautions sont d’ailleurs prises pour limiter les contacts des Hanako avec des objets potentiellement dangereux comme les pics à cheveux, les briquets et les rasoirs pour prévenir toutes tentatives désespérées de se faire du mal ou de blesser autrui.
Ils ont néanmoins un accès libre à tout ce qui peut se trouver dans la cuisine de la Seirô (ce qui en fait l’endroit privilégié où trouver l’Intendante qui a ses quartiers juste à côté). Un inventaire de tous les ustensiles et couverts est fait régulièrement pour s’assurer qu’aucun n’a été subtilisé. En plus de cela, les Hanako ont pour obligation de passer sous le portique de détection en quittant la Maison Verte ou en la rejoignant. S’ils souhaitent y accéder par une porte annexe, ils doivent s’attendre à être fouillés et peuvent d’ailleurs l’être sans préavis à tous moments ainsi que leur chambre en cas de doute.
Autant dire qu’un Hanako trouvé en possession d’un objet…proscrit passera un sale quart d’heure. Encore plus s’il a déjà tenté de s’en servir à des fins hostiles.

Les Hanako peuvent évoluer en trois grades.
Les Kikyo (桔梗 - Campanule/clochette) considérés comme des apprentis, travaillent de jour et se spécialisent dans l’escorting romantique sans jamais rendre de faveurs sexuelles. On réserve généralement ce statut aux nouveaux venus inexpérimentés en termes de prostitution, histoire qu’ils mettent un pied à l’étrier en douceur.
Ensuite viennent les Tsubaki (椿 - Camélia), qui exercent leur talent toute la journée et une partie de la soirée. En plus de l’escorting, eux sont habiletés à satisfaire sexuellement les Seikaku, tout en restant moins onéreux à fréquenter que leurs “aînés”. (En cela, ils sont obligés d’avoir 21 ans révolus).
Les Higanbana (悲願花 - Lys araignée) sont les courtisan(e)s aguerris dont la réputation n’est plus à faire car leurs talents divers sont déjà bien reconnus. Travaillant exclusivement de nuit, ils sont souvent amenés à avoir une activité spécifique en plus de leur statut d’escort en dansant au Hanging Gardens ou en étant croupier au Nine Tailed Fox par exemple.

En attendant d’avoir fait ses preuves, un Hanako commencera systématiquement au grade de Kikyo s’il n’a jamais vendu son corps auparavant (ou s’il est trop jeune) et pourra potentiellement commencer comme Tsubaki s’il s’est déjà prostitué à l’extérieur (mais cela restera à déterminer après évaluation de son véritable potentiel) et qu’il a l’âge requis de 21 ans. Ainsi, il est possible dans un premier temps de monter en grade au sein même du groupe des Hanako et d’accéder à de plus en plus de privilèges.
Seuls les Higanbana pourront prétendre dans des cas très particuliers à quitter leur condition de courtisan(e) pour rejoindre un autre groupe mais gardez à l’esprit que cela est très rare. Le développement d’un talent scénique hors du commun pendant ses années d’exercice pourra leur permettre de candidater comme Geiko par exemple.
Ca devient encore plus délicat quand il s’agit d’intégrer les Meijin ou les Kinshin car un Higanbana perdrait alors complètement sa valeur “marchande” en intégrant l’un de ces groupes, ce qui n’est pas franchement souhaitable, tout du moins tant qu’il a du succès…
Suite à une blessure très invalidante rattrapée par une loyauté sans failles et des compétences particulières en marge de l’escorting ; ce n’est cependant pas inenvisageable.
A noter que si évoluer est possible, être rétrogradé l’est tout autant.
Un Higanbana en perte de vitesse qui ne fait pas suffisamment attention aux fluctuations de sa cote pourra très bien repasser Tsubaki, au profit de l’un d’entre eux au contraire très prometteur et en droit d’obtenir une promotion.
Même cas de figure s’il y a insubordination ou en cas de problèmes médicaux amenés à impacter durablement l’activité du Hanako concerné.

> Pour tous changements de grade de votre personnage, il suffira de se concerter en privé avec les admins pour envisager si c’est possible ou non au vu du parcours de ce dernier. Compléter ensuite le background de sa fiche pourrait s’avérer utile. Cela peut également se jouer inRP avec Dahlia ou Freya vu qu’elles sont les principales décisionnaires lorsqu’il s’agit de promouvoir ou de déchoir un Hanako.
Pour un changement de groupe, il sera préférable d’avoir une traçabilité en RP obligatoirement avec les acteurs concernés car ce ne sera pas anodin ; là encore après avoir informé les admins de votre projet et obtenu leur accord.

Dans la Seirô (青楼 - Maison Verte, ancienne appellation des maisons closes de l’époque Edo au Japon), dissimulée à l’intérieure de la galerie du Hanamachi qui domine le quartier Luxuria. Étudiée comme une villa traditionnelle japonaise à plusieurs étages d’un point de vue extérieur, elle présente en effet beaucoup d’éléments en bois dont la plupart sont déclinés en nuances de vert à l’intérieur.

Nagisa car étant la zone de transit du complexe, tout Hanako qui essaierait de s’y rendre serait considéré comme un fuyard et…appréhendé en conséquence.
Comme tout le monde, exception faite des Meijin, ils n’ont pas accès non plus au Gakejoû sauf sous bonne escorte s’ils doivent honorer un rendez-vous important ou être enfermés au cachot.
Rien ne leur interdit d’entrer dans les Communs bien qu’ils n’aient…rien à y faire en théorie.
L’accès à l’Okiya n’est pas impossible mais très réglementé pour les Hanako même s’il s’agit d’une simple visite de courtoisie à un confrère Geiko. Il faudra toujours que cela se fasse avec la plus grande discrétion et avec l’approbation de l’Intendant de la Maison Dorée.
Et bien entendu, à moins d'y avoir été conviés ; les Hanako n'ont pas intérêt à flâner dans les appartements de Dahlia ou dans le bureau d'Freya aménagés au rez-de-chaussée de la Seirô.
A part cela, ils sont libres d’aller et venir à peu près où bon leur semble sur l’île.

En aucun cas. Le seul moyen pour un Hanako de quitter l’île temporairement, c’est que son état soit suffisamment préoccupant pour nécessiter une hospitalisation ou des examens urgents impossibles à pratiquer au Health Center ; amenant à ce qu’il soit transféré par hélicoptère à l’hôpital. Et même dans ce cas-là, il sera constamment sous la surveillance étroite d’un ou de plusieurs Meijin jusqu’à pouvoir rentrer au bercail.

Tout est calqué sur ce qui avait cours dans les établissements similaires du Japon féodal avec une organisation assez familiale.
Les Kikyo considérés comme jeunes recrues et de fait plus corvéables que les autres sont souvent préposés aux tâches ménagères et régulièrement sollicités par l’Intendante pour l’aider à entretenir les lieux. Ce qui lui permet par ailleurs de garder un œil sur eux et d’apprendre à les connaître vu qu’ils sont pour la plupart récemment arrivés et…nécessitent une attention particulière. Leurs chambres sont des dortoirs avec deux lits superposés et donc quatre couchages pour sauvegarder cet aspect “colonie de vacances” et endormir leur appréhension.
Les Tsubaki étant sollicités du matin au soir, ils ne s’occupent que peu de l’entretien de la maisonnée et ont la réputation de…beaucoup rester entre eux et de fonctionner en tandem vu qu’ils partagent des chambres à deux lits. Généralement, l’Intendante leur fiche une paix royale et leur accorde une grande autonomie tant qu’ils font leur job.
Quant aux Higanbana, en bons noctambules et stars du quartier Luxuria, ils sont les plus chouchoutés. Jouissant de chambres individuelles au dernier étage parfaitement insonorisées avec des rideaux occultants pour bénéficier d’un sommeil réparateur même en pleine journée, certains n’hésitent pas à laisser une note aux Kikyo pour qu’ils leur apportent à manger à une heure précise ou qu’ils les aident à se préparer. L’Intendante veille toujours au grain pour prévenir les abus de pouvoir cela dit et est bien plus facilement sur le dos des Higanbana que des Tsubaki ; histoire qu’ils gardent les pieds sur terre et restent constants dans leurs efforts pour faire rayonner le quartier Luxuria.
Les sanitaires ainsi que les différentes salles d’eau et de bain restent néanmoins communs et mixtes (comme les chambres partagées). Mais comme tous les Hanako ont des horaires de service différents, la cohabitation est plutôt simple et fluide.
Les principaux espaces communautaires sont la cuisine, le grand salon et la cour intérieure. Chacun est libre de préparer ses repas quand il le souhaite en piochant dans le frigidaire et le sellier (qui sont approvisionnés chaque semaine avec des produits frais et de saison).
Pour les plus paresseux, il y aura toujours quelques bentos d’avance gentiment préparés par l’Intendante pour éviter le gaspillage.
La cuisine est toute équipée avec plaques à induction, four, micro-ondes, lave-vaisselle, blender, cuiseur à riz, machine à pain, grille-pain, bouilloire, fontaine à eau, machine à café…Bref, il y a de quoi faire même si le fait de devoir nettoyer systématiquement tout ce qu’on utilise en dissuade beaucoup de cuisiner…quand ce n’est pas la flemme.
La cour intérieure, véritable havre de paix au milieu de l’effervescence du quartier Luxuria est l’endroit favori de beaucoup de Hanako car c’est là qu’ils sont autorisés à fumer ou vapoter en plus de pouvoir aller cajoler une ribambelle de lapins nains…dont ils sont censés prendre soin. Une volonté de l’Intendante pour les responsabiliser tout en leur apportant un réconfort bienvenu.

> L’accès à la Seirô est formellement interdit aux Seikaku et elle doit rester le point de chute à privilégier par les Hanako à la fin de leur journée. Il ne leur est pas interdit de découcher ou d’inviter des Geiko/des Kinshin à leur rendre visite mais cela devra toujours être cautionné par Dahlia ou Freya pour peu qu'elle soit sur place. Si elles trouvent que la situation ne s’y prête pas pour une raison ou une autre, elles peuvent parfaitement refuser cette faveur au Hanako et il devra s’y tenir sans broncher. De la même façon, il est demandé aux Hanako de jouer le jeu et d’occuper les chambres qui leur ont été attribuées suivant leurs grades même si des copinages existeront forcément entre eux indépendamment de leurs statuts. Tout cela par simple souci d’équité et pour éviter les abus/colocs improvisées. L’Intendante fermera les yeux si c’est occasionnel (à plus forte raison si tout le monde est de repos) mais commencera à taper du poing sur la table si un Hanako n’occupe son propre lit que la moitié de la semaine et en pleine période de travail.
Les Meijin peuvent se rendre à la Seirô sur invitation de l'Entremetteuse ou de l'Intendante mais doivent grandement limiter les visites de courtoisie hasardeuses.

Dans la mesure du raisonnable même s’ils doivent garder à l’esprit qu’ils seront amenés à pas mal bouger au cours de leur résidence au 7S et qu’ils devront…se débrouiller pour déménager leurs affaires à chaque fois.
Par ailleurs, aucune dégradation (volontaire ou accidentelle) n’étant bien tolérée à la Seirô, les Hanako sont tenus de prendre soin de l’ensemble des locaux mis à leur disposition et…n’auront de toutes façons pas accès à du matériel de bricolage sauf cas exceptionnel et sous supervision de l’Intendante.

Pendant leurs jours de repos, les Hanako n’ont pas à porter de tenue particulière ni à arborer leur charme écarlate (indiquant qu’ils sont en service ; pour éviter néanmoins toute ambiguïté sur leur groupe d’appartenance, il leur est demandé de garder leur pochette décorée de motifs floraux bien en évidence) ; ce qui leur permet de profiter du complexe comme ils l’entendent même s’il leur est fortement préconisé d’éviter les pics d’affluence de Seikaku à certains endroits donnés, pour leur propre confort déjà et aussi parce qu’il est strictement interdit de fréquenter un Seikaku gratuitement en dehors de ses heures d’exercice…(tout finit par se savoir et par arriver aux oreilles de Dahlia donc ils doivent rester très vigilants vis-à-vis de ça).
En cela, il leur est toujours conseillé d’aller à contre-courant des habitudes de fréquentation des clients et de profiter du Luxuria et du Superbia en journée (plusieurs établissements leur sont ouverts voire carrément privatisés pour ceux n’ouvrant qu’à partir d’une certaine heure à la clientèle), ainsi que de l’Acedia en soirée. Autrement, ils peuvent très bien aviser en se renseignant auprès des différents accueils s’il serait opportun ou pas de s’adonner à telle activité à un moment précis car les réceptionnistes ont toujours accès en temps réel au taux d’affluence du complexe par zones/lieux.
Mais en soi, ils peuvent pratiquer toutes sortes de sports, assister à différents cours au Stadium, à l’Ochaya (cérémonie du thé, calligraphie chinoise et japonaise), à l’Ukiyo (dessin, aquarelle)...
En journée, bien que le Théâtre soit dévolu à l’entraînement des Geiko et aux répétitions, les Hanako ont le droit d’aller y assister en se faisant discrets et peuvent être initiés à la pratique d’instruments de musique selon disponibilité des différents intervenants.  
Dès lors qu’ils utilisent leurs propres deniers, en dehors du petit-déjeuner de l’Aurore qui est toujours offert ; ils peuvent boire et manger où ils le souhaitent (les différents points de restauration du complexe proposent toujours des tables un peu à part pour les résidents seuls) et faire vivre les commerces et services de la Galerie.
Au Dit de l’Ecume, les Hanako peuvent avoir accès à des livres et des mangas, à un espace de rédaction et de papeterie pour leur courrier ; ainsi qu’à des ordinateurs s’ils veulent utiliser certains logiciels et accéder à leur espace Versus sur grand écran.
Ils ont bien sûr autrement accès à tout le contenu shopping, VOD, gaming, musical et X directement via leur tablette.

On exige des Hanako qu’ils soient tout à la fois identifiables et désirables quand ils sont en service, ce qui induit d’apporter un soin tout particulier à leur apparence.
Généralement, il est demandé aux Kikyo de faire preuve de plus de sobriété et de pudeur dans leurs accoutrements que leurs homologues en privilégiant des couleurs pastel ou claires et en adoptant un style doux, romantique voire juvénile sans laisser trop de peau en évidence (en particulier les décolletés qui doivent être très discrets).
Les Tsubaki, censés attirer l'œil sans bénéficier de l’aura de la nightlife doivent toujours beaucoup se différencier des Kikyo en adoptant des looks plus sexy et classy. Toutes les fantaisies sont bonnes pour se démarquer et ce sont les Hanako qui personnalisent le plus leur apparence en jouant sur les couleurs vives, les strass, les breloques en tous genres…tout en dévoilant allègrement jambes, dos et poitrine.
Pour ce qui est des Higanbana, leur apparence va beaucoup être conditionnée par leur double activité qu’il s’agisse d’un uniforme ajouré de kitsune pour officier au Nine Tailed Fox ou d’une tenue de danseuse orientale très…aérée et ornementée pour se produire au Hanging Gardens, en passant par la catsuit en vinyle typique du S&G. En dehors de ces attributions, en tant que courtisan(e)s distinguées, les Higanbana tablent généralement sur du glamour très ostentatoire. Ce sont les Hanako qui arborent le plus de bijoux et présentent les coiffures et maquillages les plus recherchés.
Lors de leurs parades au Hanamachi, tous les Hanako sont invités à arborer des tenues inspirées des costumes traditionnels asiatiques (en plus ajourés) ou des ensembles de lingerie comprenant corsets et déshabillés évoquant plutôt la mouvance opérée dans les maisons closes européennes des siècles précédents.

Là encore, les Hanako sont tenus de ne laisser aucun détail au hasard et d’embrasser les standards de beauté les plus en vogue tout en s’adaptant aux préférences de leurs clients, à plus forte raison, leurs habitués.
Le maquillage, peu importe son intensité, doit toujours servir à booster leurs atouts naturels et mettre en évidence la couleur de leurs yeux et leur carnation. Il doit aussi bien sûr être adapté à leurs activités (léger pour les Kikyo, assez remarquable pour les Tsubaki, recherché et avec une bonne tenue pour les Higanbana).
Le soin apporté à leurs coiffures suit le même modèle et leurs cheveux doivent toujours sembler propres et exhaler un délicieux parfum. Du moment que la coloration choisie les met en valeur et est bien entretenue, ils sont autorisés à teindre leurs cheveux comme ils l’entendent ; même chose pour tout ce qui concerne les lissages, ondulations et boucles.
Les courtisanes sont fortement encouragées à obéir au diktat esthétique habituel en étant parfaitement épilées de la tête aux pieds, aisselles, jambes complètes et maillot (intégral ou brésilien de préférence) en priorité. Pour ce qui est des courtisans, s’ils ont décidé de jouer la carte “imberbe”, ils se doivent de suivre les mêmes directives. Le port de la barbe ou d’une pilosité moyenne/normale n’est pas proscrit dès lors que le tout reste bien entretenu et agréable à l'œil et au toucher.
Dans la mesure où ces éléments peuvent contribuer à asseoir leur attitude et leur personnalité, les Hanako peuvent sans soucis arborer tatouages, piercings et bijoux du moment que le tout reste harmonieux et ne dénote pas trop avec leurs attributions ou leurs tenues habituelles.    
Pour finir, les Hanako auront été encouragés dès leur arrivée à utiliser une gamme de produits personnalisés leur assignant une sorte de signature olfactive et un parfum attrayant unique. En cela, il leur est déconseillé d’emprunter les cosmétiques d’autres Hanako mais plutôt de conserver les mêmes notes de parfum pour chaque nouvel élément qu’ils intégreront à leur routine d’hygiène…(qui -faut-il le rappeler ?- se doit d’être irréprochable).  

> La pochette fleurie avec ou sans le charme écarlate
> L’omniprésence des fleurs dans leurs accoutrements même à petite dose qu’il s’agisse de motifs sur les vêtements, d’ornements de cheveux, de bijoux, de tatouages éphémères ou non…
> Leur parfum, subtil mais toujours présent. On sait quand on croise un Hanako car il laissera toujours derrière lui un sillage parfumé des plus agréables. 

Bien sûr. Du moment qu’ils ont les fonds nécessaires, rien ne les empêche de passer commande sur le shop en ligne du Virtual Sidh (proposant essentiellement des vêtements, des chaussures, des cosmétiques et moult babioles ; en d’autres termes, rien qui pourrait s’avérer problématique) ou de fréquenter les boutiques du complexe. Cela s’avère d’ailleurs rapidement nécessaire car leur package de départ n’est pas très fourni en termes de garde-robe surtout s’ils sont arrivés au 7S avec très peu de bagages voire aucun.
A noter que des changes basiques sont toujours disponibles dans la buanderie de la Seirô pour dépanner.
Il n’est pas rare non plus que des Hanako amenés à monter en grade souhaitent se débarrasser de certaines tenues et les cèdent à leurs cadets moyennant quelques menus services en échange.

Pour des questions d’entretien et de logistique, les Hanako ne peuvent pas vraiment avoir d’animal de compagnie personnel. Mais ils sont vivement invités à prendre soin de la batterie de lapins nains (uniquement des femelles pour éviter l’invasion) qui a été confortablement installée dans la cour intérieure de la Maison verte. Une initiative de l’Intendante pour leur apporter du réconfort et leur permettre de varier un peu leurs activités au sein de la résidence. Il arrive régulièrement qu’un Hanako s'entiche d’un lapin en particulier et décide de lui donner un prénom mais…autant vous dire que les petites boules de poils changent souvent d’identité.

Etant résidents permanents, les Hanako sont amenés à beaucoup piétiner dans les différents quartiers sans forcément se dépenser (si ce n’est durant l’exercice de leur “art”), aussi, il leur est vivement conseillé de pratiquer une activité sportive au moins une fois par semaine pour maintenir une bonne santé.

On ne va pas se mentir, “résident permanent” étant une appellation enjolivée pour “captif”, les Hanako sont très étroitement suivis médicalement pour prévenir tout souci de santé ou baisse de moral. Demeurant, au même titre que les Geiko, la principale source de revenus du complexe ; il est primordial d’en prendre soin pour que leur rentabilité reste pérenne et leur popularité, toujours croissante.
Dans un premier temps, pour des raisons sanitaires et…purement pratiques ; toutes les futures courtisanes se verront affubler d’un stérilet ou d’un implant pour pallier tous risques de grossesse ou en tous cas, grandement le limiter. Cela aura également pour effet de diminuer considérablement leur flux menstruel et l’impact de leurs règles au quotidien, ce qui, en termes de rentabilité n’est pas négligeable non plus. Hélas pour les résidents permanents, à fortiori quand ce sont des femmes, leur sexualité ne leur appartient plus et devient partie intégrante d’un business très lucratif ; ce qui fait qu’ils n’ont plus leur mot à dire.
En outre, peu importe ses antécédents, chaque Hanako aura un suivi psychologique obligatoire à raison d’une séance mensuelle minimum.
Dès lors que ses missions impliquent des faveurs sexuelles, chaque Hanako devra également passer par le cabinet de gynécologie-urologie-proctologie une fois par mois pour contrôler le bon état de ses parties intimes et prévenir tous risques même minimes de MST ou de grossesse (bien que les Seikaku soient tenus de montrer patte blanche en mettant à jour leurs dépistages IST directement en ligne dans leur espace VS, ce qui confirme leurs réservations avec des Tsubaki ou des Higanbana s'il est validé -jusqu'à deux jours avant- ; une telle rigueur n’est pas demandée aux Meijin ni aux Kinshin quand bien même ils fréquenteraient des Hanako dans le privé. Bien sûr, on attend d’eux qu’ils fassent attention, ce qui est un minimum mais dans tous les cas, le risque 0 n’existe pas).
Parallèlement à cela, tous les Hanako sont invités à suivre les conseils d’un diététicien-nutritionniste pour savoir quoi manger (idéalement) et quand suivant leur rythme de travail, leur corpulence et leur métabolisme histoire de maintenir une énergie optimale. Ils ont tous accès à leur “régime” personnalisé dans leur intranet Versus.
Suivant leurs activités, il leur sera utile de consulter occasionnellement l’ostéopathe ou le kiné.
Un check-up trimestriel chez le médecin généraliste est également de rigueur avec analyse de sang et d’urine, prise de tension et pesée si aucun souci particulier n’a été signalé par les autres spécialistes entretemps.
Via son partenariat avec le Bantry General Hospital, il est possible pour le Seven Sidh d’y envoyer des Hanako sous bonne escorte pour tout autre examen plus spécifique mais très ponctuel (ophtalmologie, odontologie, réalisation d’imageries, etc…).

Dans la mesure où il serait trop risqué de laisser une totale autonomie à un Hanako dans la prise de médicaments (parfois fortement dosés), le tout est très bien encadré.
Tout dépendra de la forme que prendra le traitement et de la fréquence des prises.
Comme il peut s’avérer très fastidieux et chronophage pour un Hanako de se rendre souvent au Health Center, seuls les traitements très spécifiques (à injecter et/ou à conserver au frais par exemple) y sont conservés et prodigués.
Pour tout ce qui est médicaments/traitements par voie orale/vaginale/rectale/cutanée, la “pharmacie” est à la charge des Intendants de la Seirô et de l’Okiya. De la même façon qu’ils sont les seuls à avoir accès à la trousse de premiers secours, ils conservent sous clé les traitements de chacun de leurs pensionnaires et en connaissent la posologie par cœur.
Pour les Hanako, c’est donc par Dahlia qu’ils auront accès à leur traitement au compte-goutte et elle veillera d’ailleurs à ce qu’ils le prennent correctement (c’est-à-dire en sa présence et à la bonne heure, que ça leur plaise ou non).
Pour tout ce qui concerne des douleurs ou des bobos passagers, ce sera également à Dahlia de décider quoi donner à qui après consultation téléphonique du médecin si elle a un doute, concernant les médicaments d’ordinaire accessibles librement sans ordonnance.
Cela évite aux Hanako de se déplacer au Health Center pour un simple mal de crâne, une crampe d’estomac ou une insomnie.

Oui, au même titre que tous les salariés du complexe. Faire travailler un Hanako malade ne servirait en rien les intérêts et la réputation du Seven Sidh alors si le médecin le juge nécessaire et opportun, il peut tout-à-fait prendre cette décision et…aucun Meijin ne pourra la remettre en cause.
Durant sa convalescence, le Hanako sera au choix reçu en chambre médicalisée au Health Center ou sous l’étroite surveillance de l’Intendante à la Maison Verte sans possibilité de sortir flâner. S’il doit sortir occasionnellement pour des soins ou du bien-être à l’Acedia, il devra être escorté obligatoirement.
Sur son planning de réservations Virtual Sidh, les créneaux de location seront rendus indisponibles durant toute la durée de l’arrêt maladie et estampillés d’une petite croix verte pour indiquer sommairement aux Seikaku que le Hanako en question s’absente pour des raisons de santé.
Les Seikaku ne sont pas autorisés à en savoir plus.

Oui, en étant à l’écoute de leurs limites et quand ils sont en service, en restant professionnels.
Aucun cadeau ne sera fait à un Hanako trop éméché qui s’est tapé l’affiche ou a ruiné une location en devenant inapte à coucher ou pire, en rendant son dernier repas devant un Seikaku. Ce n’est juste pas tolérable.
Libre à eux de se mettre une race en restant discrets pendant leurs jours de repos mais ils assumeront seuls les conséquences de leur gueule de bois le lendemain et…seront bien évidemment sermonnés et pris en charge si leur rapport à l’alcool est jugé…problématique.

La marge de tolérance concernant l’usage de drogues (hors alcool) est très restreinte pour les Hanako. S’il y a risque de développer une dépendance dès la première prise, il leur est fortement déconseillé de s’y mettre histoire de préserver leur santé/leur productivité.
Bien que certains Seikaku puissent être insistants au point de réclamer du chemsex, ce sera au Hanako de retourner la situation à son avantage pour rester le plus lucide possible de son côté et s’assurer qu’aucune dérive dangereuse pour lui n’advienne…Si les Seikaku fréquentent le Seven Sidh dans le but de s’affranchir de beaucoup de limites, les Hanako de leur côté ont un cahier des charges très précis à respecter. Et c’est là que leur dévotion aux désirs d’autrui se doit d’être nuancée.
Chaque Hanako doit garder à l’esprit que le moindre problème de santé ou le plus petit scandale est susceptible d’empoisonner sa carrière et de mettre à mal sa popularité sur une période donnée…et pour cause, s’ils sont très bien encadrés pour ne pas dire fliqués dans le privé, ils jouissent d’une grande autonomie dans l’exercice de leurs fonctions et peuvent avoir une influence décisive sur le déroulé des locations. A eux donc de voir où se trouve leur intérêt et de ne pas trop jouer avec le feu.
Pour ce qui est de la cigarette, les Hanako seront fortement encouragés à arrêter de fumer, déjà pour ne pas entamer leurs délicieuses effluves fleuries et pour préserver leur dentition et leur haleine bien avant leurs poumons. Le temps d’y parvenir, ils devront bien sûr être attentifs à tous ces détails potentiellement rebutants ou passer à la vapoteuse. Sans compter qu’ils ont interdiction formelle de se balader avec un briquet ou des allumettes.

Tous les Hanako ont des shifts de 10 h comprenant 1 h 30 de pause/temps libre (ou 9 h 30 concernant les Higanbana avec 30 min de pause)

-Les Kikyo ont un rythme de jour (7h - 17h) et un jour de repos fixe par semaine
-Les Tsubaki ont un rythme intermédiaire (10h - 20h) et deux jours de repos non fixes par semaine (dépendant de la prévision des locations)
-Les Higanbana ont un rythme de nuit continu (20h - 5h) et deux jours de repos fixes et consécutifs par semaine
-L’Intendante se calque le plus souvent sur le rythme des Tsubaki pour pouvoir superviser les activités d’un peu tout le monde. Elle se lève à 5h30 pour s’assurer que tous les Kikyo sont debouts et prendra part au petit-déjeuner en leur compagnie et celle des Higanbana, qu’elle verra aller se coucher. C’est d’ailleurs principalement ce qui la préoccupera jusqu’à 7 h, savoir où ont échoué tous les Higanbana et s’assurer qu’ils se reposent.
Elle sonnera le clairon à 14h30 pour ceux qui ont le plus de mal à émerger et passera un peu de temps avec eux, en veillant à ce qu’ils mangent un morceau.
A partir de 17 h et quelques, Dahlia se concentrera à nouveau sur les Kikyo qui terminent leurs journées et les mettra à contribution pour faire pas mal de choses (entretien général de la maisonnée, tâches ménagères, préparation du repas en vue du retour des Tsubaki).
A 20 h, elle pourra recenser les Tsubaki et les côtoyer lors du repas du soir.
N’ayant pas besoin de beaucoup d’heures de sommeil pour récupérer, l’Intendante ira au lit entre 23 h et minuit après avoir fait place nette dans la cuisine et fait une dernière ronde des chambres. Si jamais des Kikyo sont encore debouts, elle s’assurera qu’ils se couchent fissa pour être en forme le lendemain.
Même en pleine nuit, Dahlia restera joignable, gardant toujours son téléphone près d’elle ainsi que sa mini radio branchée sur le canal d’urgence.
Quand Freya a des disponibilités dans son emploi du temps, il lui arrive d'élire domicile à la Seirô pendant un ou deux jours pour permettre à Dahlia de souffler un peu et prendre du temps pour elle ; une bonne synergie ressortant de leur binôme.


> Les phases de repos/congés sont visibles dans le planning car elles sont grisées et invalident automatiquement les créneaux de location associés (zone grise) en plus d’être estampillés d’un “R” doré (repos). Lesdits créneaux sont néanmoins débloquables par double validation (Hanako et Seikaku) si un Hanako a fait une bourde en arborant son charme écarlate alors qu’il était de relâche ou s’il y a volonté de fréquenter un Seikaku en dehors de sa période effective de travail.
En cas d’arrêt maladie, les créneaux sont complètement verrouillés (et pour cause, jamais un Hanako ne sera censé entrer en contact avec un Seikaku s’il se trouve mal en point car il sera mis en quarantaine au Health Center ou à la Maison Verte).

Au même titre qu'un visiteur averti anticipe et prépare son voyage à Disneyland, il en est de même pour le complexe... Tout peut être fait en ligne via un accès sécurisé et absolument tous les services possibles et imaginables peuvent être réservés à l'avance et annulés jusqu'à J-7. Au-delà, tout est facturé car le complexe se doit d'avoir une organisation millimétrée pour gérer les emplois du temps de tout le monde.
Il est bien sûr possible de faire des réservations instantanées sur place via les différentes réceptions mais...autant dire que tout dépendra des prestations souhaitées. On ne réserve pas la compagnie d'un Higanbana comme on réserve une partie de mini-golf ou un cours de yoga…
Du coup, les Seikaku les moins prévoyants menacent d'être déçus s'ils ne réservent pas suffisamment à l'avance leurs activités et...c'est tant pis pour eux.
L'emploi du temps des Hanako est généré automatiquement en étant relié aux données de la plate-forme Virtual Sidh et donc des réservations faites en ligne ou sur l'appli du complexe.
Grâce à leur tablette, ils peuvent consulter en temps réel les mouvements dans leur planning, ce dernier ne se figeant qu'avec une semaine d'avance (en lien avec les conditions d'annulation proposées aux Seikaku).
Une fois leur planning, fixe, ils peuvent aussi prendre eux-mêmes des rendez-vous médicaux s'il en ressentent le besoin ou même réserver des soins particuliers lors de leurs jours off (qu'ils payent avec leurs deniers sinon c'est pas drôle). En cas de bug ou d'anomalie sur leur emploi du temps, ils peuvent aller voir les ressources humaines au Gakejoû en urgence pour demander des explications et régler le souci.
Si jamais un Seikaku n'honore pas le rdv qu'il a pris avec un Hanako, ce dernier est dans l’obligation d’aller parader au Hanamachi après vingt minutes sans nouvelles du client et il doit signaler l'absence de ce dernier sur sa tablette.
Les Seikaku ont accès à la messagerie d’un Hanako dès lors qu'ils ont pris rdv mais doivent dépenser des crédits pour lui écrire ; il est donc de bon ton de leur répondre.
Une fois le rdv terminé, ils ne peuvent plus échanger par ce biais.
A noter que les rdvs se font sur une base d'une heure minimum et que seule la location full time bénéficie d'un tarif préférentiel (c'est-à-dire quand un Seikaku décide de louer un Hanako pour la durée entière de son shift).
Dans ce cas-là, s’il s’agit d’un Kikyo ou d’un Tsubaki, il est tenu de lui offrir un repas et de lui accorder sa pause d'une demi-heure au moment de son choix. Si l'une des conditions n'est pas respectée, le Seikaku pourra se voir refuser ce type de location pour un temps par la suite…
Il est possible pour un Seikaku de louer deux résidents à la fois (pas plus) pour peu que tous deux aient des créneaux libres au même moment mais cela est bien sûr conditionné par les shifts de chacun et par leurs attributions respectives. S'il est possible de louer un Higanbana et un Geiko ensemble (vu qu'ils ont tous deux des shifts de nuit), il sera par contre impossible de louer un Kikyo et un Tsubaki en même temps pour éviter les dérives...L'un n'étant pas censé offrir de prestations sexuelles, l'autre si. Deux Kikyo, deux Tsubaki, deux Higanbana ou deux Geiko sont également des possibilités. Vous ne voulez pas savoir le prix que ça coûte…

Oui, chaque Hanako possède un crédit de 14 jours de congés (non payés) par an qu’il pourra plaquer selon sa convenance dans son planning dès le 1er janvier. Les périodes de congés ne peuvent s’étendre que sur une semaine complète maximum, les jours restants devront être posés plus tard pour éviter que le Hanako en question ne se soustrait trop longtemps à la compagnie des Seikaku.
Dans tous les cas, le plaquage d’un ou de plusieurs jours de congés devra être anticipé bien en amont et sera automatiquement refusé/impossible si un Seikaku a été plus rapide et a déjà réservé un créneau de location à la date souhaitée.
D’où le fait qu’il soit conseillé de poser tous ses congés le plus tôt possible dans l’année.
Sur son planning de réservations Virtual Sidh, les créneaux de location seront rendus indisponibles durant toute la durée des congés et estampillés d’un sigle doré “R” pour indiquer sommairement aux Seikaku que le Hanako en question est en vacances.

réponse

Oui, uniquement par courrier.
Les tablettes Versus des Hanako ne permettent pas de passer des appels, encore moins à l’extérieur de l’île. Quant aux messages vocaux ou écrits, ils ne peuvent évidemment être envoyés qu’aux autres détenteurs de comptes Versus.
L’affranchissement et l’envoi seront gérés directement par le Préposé au courrier du Dit de l’Écume qui sera autorisé à lire ledit courrier avant de l’expédier.
Si un Hanako souhaite envoyer de l’argent à ses proches, il y aura des démarches supplémentaires à faire en demandant l’autorisation de se rendre à l'Administration du Gakejoû (le plus souvent par l’intermédiaire de Dahlia). Une fois là-bas, il pourra demander à ce qu’une partie de son solde Okane soit amputée et transformée en argent physique qu’on lui délivrera sur place (la plupart des devises seront disponibles sans délai d’attente).
L’argent en question sera placé dans une enveloppe cachetée spéciale que le Hanako pourra remettre au Dit de l’Écume en même temps que sa lettre pour que les fonds reviennent à ses proches.
Chaque génération d’enveloppe de ce type est bien sûr signalée au Préposé pour qu’il soit attentif à leur bonne réception et puisse contrôler l’état du scellé.
Bien que l’argent physique soit complètement obsolète pour toutes transactions sur l’île (tout transitant par la banque en ligne Okane propre au complexe), les Hanako peuvent être tentés de soudoyer des Kinshin voire des Meijin en leur proposant de l’argent pour qu’ils leur rendent des services à l’extérieur…d’où l’attention particulière portée au processus.

Les Meijin étant leurs supérieurs (y compris ceux qui travaillent en marge du Luxuria), les Hanako leur doivent une obéissance et un respect inconditionnels, surtout en public. Ils n’ont pas intérêt à fanfaronner à ce moment-là ou à se montrer trop complices avec eux, la hiérarchie devant toujours primer lors de réunions/d’entrevues professionnelles ou face aux Seikaku. Dans le cadre privé cependant, les relations peuvent être beaucoup plus nuancées au bon vouloir des Meijin même s’ils ont pour consigne de ne pas trop copiner avec leurs employés ou en tous cas, de leur rappeler quelle est leur position en dépit de toute complicité ou rapprochement. Rien de tout cela ne devra transparaître en public ou impacter négativement leurs missions respectives bien entendu.
À fréquence raisonnable, les Meijin ont possibilité de verser des pourboires aux Hanako sans avoir à le justifier.

Du moment que discrétion et professionnalisme restent les maîtres-mots, les Hanako peuvent entretenir n’importe quelle relation avec les Kinshin, les Geiko ou leurs semblables.
Bien sûr, les Seikaku ne devront rien soupçonner des liens qui unissent les employés entre eux donc il leur appartiendra de bien jauger leurs échanges en public et surtout de donner la priorité absolue à leur travail.

Les relations avec les Seikaku seront peut-être les plus compliquées à gérer pour les Hanako. Car ils devront persister à les voir comme des clients même après des années de fréquentation et d’attachement sans être tentés de dispenser gratuitement leur attention…qui vaut son pesant d’or.
En tous cas, dès lors que tout rapprochement est tarifé et que le désir du Seikaku est entretenu, n’importe quelle fantaisie est possible.

Ce n’est pas interdit mais là encore, la discrétion sera de mise au contact des clients et ça ne devra avoir aucun impact négatif sur leur travail.

Seuls les Higanbana peuvent accéder à ce privilège et regagner leur “liberté” par ce biais, en épousant un Seikaku. Mais...ce n'est pas aussi simple à mettre en place.
Déjà, autant pour les uns que pour les autres, il faut justifier d'un certain nombre d'années au service du complexe ou en tant que visiteur chevronné pour accéder à cette proposition.. Ensuite, il ne faut pas que la demande sorte miraculeusement de nulle part. On accordera beaucoup plus de crédibilité à un Seikaku qui a commencé à relationner de manière tarifé avec un résident depuis quelques années plutôt...que quelques mois. Le Seikaku en question se doit d'ailleurs d'être célibataire s'il souhaite formuler sa demande, c'est autrement impossible. Quant aux résidents, ils s'engagent à pistonner un remplaçant en vue de leur départ. Un Higanbana devra parrainer un Tsubaki et s'arranger pour qu'il soit promu avant de quitter les lieux.
Vous l'aurez compris, tout doit être mis en œuvre pour que leur départ impacte le moins possible la bonne marche du complexe et si toutes les conditions sont réunies ; le mariage est accepté et devra se dérouler dans les deux mois suivants le départ du résident.
Le contrat de mariage devra être envoyé au complexe et faire foi.
Par la suite, les tourtereaux seront bien sûr surveillés et sauront ce qui pèse sur eux si jamais ils vendent la mèche à propos du complexe et envisagent lui porter atteinte. Les conséquences peuvent vraiment être dramatiques mais s'ils se contentent de vivre leur vie de couple paisiblement, rien de mal n'est censé leur arriver.

Tant qu’ils officieront comme Hanako, impossible, car toute leur attention doit être redirigée ailleurs et contribuer à remplir les caisses du Seven Sidh.
Au-delà du fait qu’un enfant en bas âge n’aurait absolument pas sa place au complexe, cela mettrait un frein considérable à la carrière du Hanako concerné voire l’invaliderait totalement et…autant dire que les Meijin ne s’encombreront pas longtemps d’un élément jugé inutile.
Le caractère non négociable du port de l’implant ou du stérilet pour les courtisanes est de toute façon censé grandement limiter les risques de grossesse surprise dans leurs rangs.
Mais si ça devait arriver, cela serait vite détecté et interrompu dans la foulée.
Quant aux courtisans, si leurs rapports non protégés ont conduit à mettre enceintes des résidentes occasionnelles ou des Seikaku ; ils n’auront aucun droit sur l’enfant à naître si jamais ces dernières décidaient de le garder et de l’élever à l’extérieur.

-> Toujours arborer sa pochette fleurie et avoir sa tablette sur soi
-> Toujours arborer le charme écarlate en service (ne pas oublier de le retirer en repos !)
-> Etre tout à la fois séduisant et impeccable en service
-> Etre parfumé (avec ses propres notes)
-> Porter un maquillage et des atours adaptés à ses missions
-> Avoir une hygiène irréprochable
-> Eviter de fumer/vapoter au contact des Seikaku

-> Adhérer à la méthode de contraception féminine imposée
-> Etre ponctuel
-> Signaler toutes absences de Seikaku
-> Toujours répondre aux désirs du Seikaku de la meilleure manière (tant qu’ils n’outrepassent pas le règlement intérieur)
-> Pour les Kikyo, ne pas accepter d’avoir de rapports sexuels
-> Ne pas accepter d’escorter gratuitement
-> Répondre aux messages des Seikaku
-> Rester attentif à son planning et à sa cote de popularité
-> Veiller à ce que les zones grises et les logos soient bien à jour (croix verte, R doré)
-> Ne pas faire l’impasse sur ses pauses surtout en cas de location full time (Kikyo & Tsubaki)
-> Raisonner sa consommation d’alcool
-> Grandement limiter sa consommation de drogues
-> Aller parader au Hanamachi s’il n’y a pas de locations en cours
-> Passer par les rdvs en zone grise pour fréquenter un Seikaku hors des périodes de travail

-> Obéir à l’Intendante Dahlia et s’en remettre à ses conseils
-> Toujours passer le portique de sécurité de la Seirô ou accepter de se faire fouiller
-> Respecter les règles de vie en communauté
-> Veiller à l’entretien de la Maison verte et au respect du mobilier
-> Occuper sa propre chambre (autant que faire se peut, par souci d'équité et pour faciliter la vie de l'Intendante qui doit toujours savoir où se trouve qui)
-> Veiller à s’alimenter et à se reposer comme il se doit
-> Veiller à la bonne organisation de la buanderie, gérer son propre linge
-> Nettoyer après chaque passage en cuisine en particulier la vaisselle utilisée
-> Prendre soin des lapins
-> Eviter de faire l’impasse sur le petit-déjeuner de l’Aurore
-> Faciliter un suivi médical assidu et honorer tous ses rdvs
-> Emprunter les chemins de traverse pour se déplacer durant les temps de repos
-> Ne pas chercher à se procurer d’objets dangereux ni les garder sur soi
-> Ne pas chercher à accéder à Nagisa
-> Ne se rendre au Gakejoû que sur invitation ou escorté
-> Ne pas conserver ou dissimuler d’argent physique

-> Respecter l’autorité des Meijin
-> Toujours faire preuve de professionnalisme et de discrétion face aux Seikaku
-> Signaler à l’Intendante quand on découche ou qu’on souhaite recevoir quelqu’un (Dahlia peut parfaitement désapprouver et dans ce cas-là, il faudra s’y tenir sans rechigner)
-> Rester conscient que son courrier et sa messagerie VS peuvent être consultés

• Détérioration - Vandalisme volontaire
• Insubordination en public
• Refus d’obéir à l’Intendante
• Détention d’objet problématique (lame, briquet)
• Détention d’argent physique
• Conversation ou courrier problématique
• Tentative d’évasion
• Vol d’objet
• Vol de pass / de tablette
• Violence verbale / Harcèlement avéré (répété)
• Violence physique
• Automutilation (+ strangulation ou noyade)
• Absence non justifiée au travail
• Plainte d’un Seikaku
• Relation sexuelle non tarifée consentie avec un Seikaku
• Refus de se soumettre au suivi médical ou à la contraception féminine
• Mauvaise volonté généralisée

Tous les comportements listés ci-dessus ne sont bien évidemment pas égaux en termes de gravité mais ce sera surtout leur accumulation qui déterminera la teneur des sanctions à appliquer.
Dans un premier temps, l’interlocutrice privilégiée pour gérer le litige sera comme toujours Dahlia qui cherchera à comprendre le pourquoi du comment et sera normalement à même d’aviser quoi faire et vers qui rediriger le Hanako dissident.
Au choix directement dans le bureau de la boss, Freya (en général, pour une première bourde d’envergure, ça calme direct), au Health Center si le souci a l’air d’ordre psychologique ou de relever d’une santé fragile en général ou bien directement entre les mains de la Sécurité direction le cachot si le Hanako est un récidiviste indécrottable ou que sa faute est…passablement grave.
Les “festivités” pratiquées au cachot iront crescendo pour faire plier le mental du Hanako et lui rappeler qui dirige. Cela ira de l’isolement dans une cellule plutôt correcte à l’isolement en étant enchaîné et privé de nourriture pendant un ou plusieurs jours.
La violence physique sera limitée au maximum avec les Hanako pour ne pas endommager leur corps ou leur visage. Mais dans des cas extrêmes, ils pourront être violés par les bourreaux (avec des objets ou pas) pour briser leurs derniers élans de rébellion si l’intimidation verbale n’a pas porté ses fruits.

S’il n’y a eu aucune amélioration dans le comportement du Hanako malgré des séjours récurrents au cachot et qu’il s’avère être une perte sèche de revenus pour le Seven Sidh et/ou qu’il finit par entacher la réputation du complexe ; les dirigeants n’hésiteront pas à s’en débarrasser. Concernant les Hanako plus particulièrement, Freya est censé avoir le dernier mot voire procéder elle-même à l'exécution même si elle peut déléguer cela à un autre dirigeant ou à un bourreau.
Dans un souci de préservation des organes internes dont la plupart seront prélevés pour être revendus au marché noir, on procède bien souvent par étouffement ou étranglement pour réduire un Hanako au silence.