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    Le complexe a besoin de Seikaku, de Kinshin et de Geiko ! Rejoignez nous !

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    Lord of the Sidh
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    Geiko • 芸妓
    Introduction
    Qui sont-ils/elles ?
    Des artistes de scène et…plutôt reconnus dans leur domaine que ce soit à un niveau national ou international. Pour la plupart d’entre eux, il ne manquait pas grand chose pour atteindre un véritable pic de célébrité et émerveiller le monde entier ou tout du moins, ils en rêvaient…Pour certains, leurs carrières n’a tout simplement pas décollée ou est rapidement arrivée à stagnation quand d’autres ont été éclaboussés par un scandale qui n’a pas pardonné…D’autres encore ont simplement été menacés par de plus gros poissons qui voyaient d’un mauvais oeil leur progression. Le show business est une jungle qu’ils ne sont pas parvenus à dompter et qui leur a laissé des stigmates. Ce qui est sûr, c’est qu’en acceptant de rejoindre le Seven Sidh, beaucoup aspiraient à un renouveau et envisageaient cela comme une seconde chance…
    A partir de là, c’était à chacun de voir midi à sa porte, de laisser l’espoir s’évanouir ou être ranimé.

    Comment ont-ils/elles pu atterrir au Seven Sidh ?
    Tous ont été approchés alors qu’ils étaient empêtrés dans une mauvaise passe et en proie au doute, soudainement vulnérables face à l’adversité après avoir baigné dans le confort de tout un tas de strass et de paillettes. Bien sûr, ils avaient bataillé pour en arriver là, pour se tailler une place de choix et jouir des plaisirs de la scène, de l’aura du spectacle, de la douce euphorie provoquée par la notoriété…Puis, d’une manière ou d’une autre, tout s’est cassé la figure, bousillant leurs repères au passage et les rendant vulnérables. La brèche idéale pour que les prospecteurs zélés du Seven Sidh interviennent et leur servent sur un plateau ce à quoi ils aspiraient alors. Au choix, la possibilité de rebondir en prenant part à un projet unique et prestigieux en marge du système ou…celle de se faire oublier pour un temps appréciable en étant protégé par l’intimité d’une île et d’un public restreint d’initiés.
    Le…discours promotionnel a toujours su s’adapter à sa cible pour qu’elle signe un contrat d’exclusivité avec le complexe les yeux fermés.
    Et une fois leurs paupières relevées, il était déjà trop tard. Impossible de faire machine arrière.
    Certains ont très mal accueilli d’avoir été piégés de la sorte, proches d’en être malades quand d’autres se sont facilement résignés ou accommodés de la situation. Après tout, ça ne pouvait pas être pire que ce que le monde “réel” avait pu leur cracher à la figure.

    Et concrètement, comment se sont articulés leur recrutement/inscription et leur embauche/arrivée ?
    Avant même de vendre leur âme au Seven Sidh, les Geiko ont dû passer des auditions et être jugés dignes de rejoindre la troupe par les acteurs les plus influents du quartier Superbia, à commencer par Fujin, le directeur artistique du complexe.
    Ces dernières ont lieu dans une dépendance de l'agence Seven Wonders le 3ème jour de chaque mois (en référence au "Bunka no Hi" ou "jour de la culture" au Japon célébré le 3 novembre) pour peu que de potentiels artistes aient été repérés les semaines précédentes.  Les Meijin parlent souvent entre eux de Engei (演芸, spectacle de scène) pour désigner l'évènement.
    Bien qu'il s'agisse davantage d'une mise en conditions pour feindre de la concurrence et permettre aux aspirants Geiko de donner le meilleur d'eux-mêmes (la très grande majorité d'entre eux sera retenue) ; l'approbation de Fujin sera la toute première case à cocher pour eux et un engagement à ne pas le décevoir en donnant le meilleur d’eux-mêmes pour enchanter leur auditoire.
    Par la suite, leur passage obligatoire au Bantry General Hospital pour la constitution ou l’actualisation de leur dossier médical sera moins pointilleux que le check-up des Hanako mais tout de même très complet. Une attention toute particulière sera d’ailleurs portée à leurs mensurations pour la réalisation de leurs futures tenues de scène ainsi qu’à leur suivi nutritionnel.
    Cette étape validée ; les futurs Geiko seront alors à même de signer toutes les clauses importantes les rattachant au Seven Sidh (et qui seront très...évasives quant au caractère fortement indéterminé de leur contrat d'exclusivité) et ils seront invités à conserver leur "nom de scène" pour peu qu'ils en aient déjà un (ce qui sera un bon moyen d'attirer des Seikaku si certains étaient déjà fans) ou à en trouver un qui leur corresponde. Dans tous les cas, ce dernier sera soumis à la validation du Service des Ressources Humaines qui pourra proposer des suggestions en cas d'invalidité ou de manque d'inspiration des Geiko en devenir.
    Ceci fait, ils seront invités à préparer un minimum d'affaires pour élire domicile (soi-disant de manière saisonnière) sur leur nouveau lieu d'exercice et seront escortés par un Meijin garant sur An Rubha.
    Ils feront un premier arrêt à la Maison Dorée (leur futur lieu de vie) où l'Intendant Tsukuyomi (ou...Fujin en personne s'ils ont de la chance) les prendra en charge pour la visite des lieux et l'attribution de leur chambre personnelle. Eux aussi auront droit au fameux thé de bienvenue "magique" pour les rendre plus dociles en vue de leur présenter le Théâtre et de leur expliquer...plus en détails ce qu'impliqueront leurs "performances".
    Au risque de les faire davantage tiquer ; les femmes Geiko seront escortées au Health Center et tenues d’accepter un moyen de contraception similaire à ceux des courtisanes pour des raisons purement pratiques histoire que leurs menstruations ne perturbent pas outre mesure le déroulé des répétitions ou leurs interventions sur scène. En tous cas, on leur vendra la chose comme telle…

    Une fois les esprits suffisamment calmés, leur tablette personnalisée Virtual Sidh, un outil de travail indispensable, leur sera confiée (aux dimensions d’un smartphone standard).
    Elle sera accompagnée d’une protection étanche, d’une pochette de transport renforcée (de couleur foncée et décorée d’insectes volants -le plus souvent des libellules ou des papillons- ou d’oiseaux -grues japonaises, hirondelles, passereaux- mais JAMAIS de fleurs qui sont l’apanage des Hanako), d’écouteurs sans fils et d’un câble de chargement.

    Non moins important, le charme indigo ; symbole des Geiko leur sera confié et ils auront le devoir de le garder accroché en évidence sur leur pochette ou autour du cou à la vue des Seikaku dès leur sortie de scène, chaque fois qu’ils seront en service. Le charme prend la forme d’une amulette de prospérité chinoise décorée de perles et d’un pompon à frange violette.

    En cas de perte ou de détérioration de l’un ou l’autre de ces éléments, un Geiko doit prévenir l’Intendant le plus rapidement possible pour qu’il soit remplacé.

    En plus du livret d’accueil leur détaillant le règlement intérieur du complexe et de l’Okiya (Maison Dorée), ils recevront également gratuitement un assortiment de produits d’hygiène et de cosmétiques étudiés pour eux, plusieurs vêtements (une première tenue de scène sur mesure, deux ensembles pour les entraînements accompagné de serviettes, d’une gourde et de chaussures adaptées, de la lingerie, des getas en guise de chaussons, un maillot de bain, plusieurs pyjamas, une tenue de soirée avec chaussures assorties, une tenue traditionnelle asiatique pour se délasser), un coffret à bijoux contenant des ornements de cheveux, un diadème ou une broche, chacun étant une pièce finement ouvragée dont la valeur est…à la hauteur de l’investissement qu’on exigera des Geiko.

    Un nécessaire pour prendre soin de leur matériel (s’ils en ont) leur sera également confié et ils pourront emprunter ce dont ils ont besoin au Théâtre à tout moment pour exercer leur art dans les meilleures conditions.
    En tant que résident à temps complet, ils recevront pour finir un kit d’hygiène en marge des produits comprenant brosses à dents, brosse et peigne adaptés à la nature de leur cheveu, serviettes de bain…(Pas de pince à épiler ni de coupe-ongles et encore moins de rasoir ; pour ce genre de retouche, ils doivent en référer à l’Intendant ou aller voir l’esthéticienne/le barbier).


    Quel est leur statut au sein du complexe ?
    Ils sont résidents permanents, artistes ayant signé un contrat d’exclusivité avec le Seven Sidh, et par extension...esclaves modernes sous l'autorité totale des Meijin.


    Qu’en est-il de leur salaire ?
    Les Geiko partent tous de la même base en touchant un cachet qui comptabilise leurs heures de répétitions et celles dévolues à la réalisation du spectacle quotidien ainsi qu’aux différentes animations qu’ils peuvent dispenser au Crépuscule.
    Pour ce qui est des locations, bien qu’elles soient plus onéreuses en termes de tarif que celles proposées par les courtisan(e)s tous grades confondus ; les Geiko touchent ironiquement une commission bien inférieure dessus, ce qui fait qu’elles leur rapportent un ratio d’argent plus faible qu’aux Hanako.
    On estime qu’ils sont déjà suffisamment bien rémunérés pour leurs prestations scéniques et surtout, que leur implication auprès des Seikaku n’est pas comparable étant donné que le choix leur appartient de dispenser ou non des faveurs sexuelles.
    Ça ne les empêche cependant pas de toucher des pourboires supplémentaires de la part de ces derniers et des Meijin (même si les concernant, cela doit rester très ponctuel).
    Leur cote de popularité est une variable intéressante mais moins importante en termes de rémunération que pour les Hanako également même si elle peut mettre un peu de beurre dans les épinards…
    Le but de tout cela étant que leur principale source de revenus se cantonne à la scène histoire de les motiver à rester constants dans leurs efforts et la démonstration de leurs talents.
    Avec une cadence de locations normale et une popularité médiane, un Geiko avoisinera les 1000 euros de revenu par mois.
    (Ils sont logés, nourris, blanchis et soignés aux frais de la princesse donc bien que leur rémunération semble faible, il faut se rappeler qu’elle ne sert qu’à leur agrément personnel sur place.)
    Notez bien que toute location réalisée en “zone grise” n’est pas commissionnable et ne rapporte de fait rien au Geiko.
    (Ce qu’on nomme la “zone grise” sur un planning correspond aux temps alloués au résident pour son repos/ses congés. Normalement, aucun créneau de location n’y est ouvert mais c’est une donnée que le Geiko peut facilement changer. Ne manquera plus qu’une double validation du côté du Seikaku et le créneau apparaîtra en zone grise, le tarif s’alignera sur ceux ayant eu cours précédemment dans la semaine.
    Cela peut arriver en cas de quiproquo, de manque de vigilance du Geiko car certains oublient parfois de retirer le charme indigo de leur pochette quand ils sont de relâche.
    Et comme le règlement le stipule, porter un charme signifiant automatiquement qu’on est disponible à la location, un Geiko n’a pas le droit de refuser une demande s’il l’arbore et qu’il est libre peu importe qu’il soit censé se reposer.
    Dans de plus rares cas, les locations en zones grises se font d’un commun accord entre le Seikaku et le Geiko s’ils désirent tous deux passer du temps ensemble en marge de sa période de travail habituelle -car il est interdit d’avoir une entrevue non tarifée avec un Seikaku-. Pour pallier au fait que le Geiko ne reçoive aucune rémunération, leSeikaku lui verse alors souvent un pourboire conséquent en compensation. Pour plus de détails, se référer à la partie “Emploi du temps indicatif”).


    Qui sont leurs supérieurs hiérarchiques ?
    Les Meijin encadrants au sens large mais plus particulièrement l’Intendant de l’Okiya, Tsukuyomi et évidemment Fujin qui supervise l’évènementiel et l’ensemble du quartier Superbia. Bien qu’ils ne soient pas à proprement parler leurs supérieurs en termes hiérarchiques purs, les Geiko se doivent aussi d’écouter les directives/les conseils des Kinshin travaillant dans l’ombre à la réalisation des spectacles (régisseur, metteur en scène, chorégraphe, chef d’orchestre…).


    En quoi consiste leur travail/leur mission ?
    Etre les dignes ambassadeurs du quartier Superbia dévolu aux Arts et au raffinement ; divertir les Seikaku par leurs talents scéniques hors du commun, leur éloquence et leur culture. Un parallèle plutôt clair a voulu être fait entre la troupe d’artistes du Seven Sidh et la profession en perte de vitesse mais fantasme inégalé du Japon, celle de Geisha d’où l’emprunt non dissimulé de ce même terme pour désigner les Geiko.
    Au tout début du projet, il y avait même une volonté affirmée des deux clans japonais d’installer de véritables geisha au 7S et de ne promouvoir que les arts pratiqués usuellement par ces dernières…en déviant vers du circassien chinois ou des danses asiatiques locales au sens large éventuellement.
    Sous l’impulsion des autres clans fondateurs, il a finalement été décidé d’englober tous les arts scéniques pour offrir plus de diversité en termes de spectacle et répondre aux goûts de tout le monde ; ce qui allait également faciliter le recrutement (car autant dire que les geishas hors Japon se font plutôt rares…) et permettre de promouvoir n’importe quel talent jugé digne d’intérêt pour encenser le prestige du complexe.
    Pour se faire, les Geiko sont bien sûr tenus de s’entraîner et d’assister à toutes les répétitions les concernant ; ils se doivent de participer à l’élaboration de certaines animations et s’investir à fond dans les spectacles présentés au Théâtre.
    Cela n’étant pas amené à les occuper toute la soirée, ils sont ensuite invités à escorter les Seikaku qui le souhaitent dans la poursuite de leurs activités nocturnes en étant de bonne compagnie et en entretenant leur admiration.
    Ce qui ne doit pas passer obligatoirement par des faveurs sexuelles d’ailleurs ou tout du moins, pas avant un certain temps.
    On ne se fait pas escorter par un Geiko ou un Hanako pour les mêmes raisons ni aux mêmes fins.
    Les Geiko rayonnant par leur prestance et leur charisme d’artiste transmettent cette aura à minima aux Seikaku qu’ils accompagnent, ce qui gonfle l’ego de ces derniers et comble leur côté esthète, amateur de luxe. D’autant plus quand ils peuvent bénéficier de représentations privées dans une alcôve de l’Ochaya ou avoir l’honneur d’être en tête-à-tête avec l’une des stars du complexe.
    A ce titre, il est plutôt demandé aux Geiko de dispenser par petites touches subtiles tous rapprochements physiques histoire de conserver intacte le plus longtemps possible leur aura de vedette “inaccessible au commun des mortels”. Et seulement quand ils le jugent opportun, de dévier sur quelque chose de charnel en guise de récompense pour la patience du Seikaku concerné et…pour entretenir le fantasme de ceux qui n’y ont pas encore eu droit.
    C’est en tous cas une conclusion à envisager et les Geiko doivent en avoir conscience et ne pas jouer trop longtemps la carte de la frigidité. S'ils ont l’insigne privilège de construire en partie une relation avec les Seikaku avant de passer à l’acte, ils seront tenus de choyer autant les hommes que les femmes peu importe leur inclination sexuelle histoire de ne laisser personne sur le carreau (encore moins un client qui aurait déboursé une fortune pour les fréquenter régulièrement).


    Ont-ils/elles droit au port d’armes ?
    Jamais en dehors de l’exercice de leur art si celui-ci nécessite par exemple l’usage d’épées ornementales, de couteaux de lancer, de cannes, de torches, etc…
    Tout ce matériel est gardé sous clé dans une dépendance très protégée du Théâtre verrouillée électroniquement et gardée par un Meijin accessoiriste détenteur des accès sur son pass (à noter que Fujin et Tsukuyomi sont les seuls à l’avoir en dehors de lui).
    Etant au fait des activités de chaque Geiko, il sait qui a besoin de quoi et en cas de changement ou de doute ; il en référera toujours au directeur artistique pour avoir confirmation avant d’autoriser quoi que ce soit. Il veille également à ce que chaque objet emprunté soit retourné tous les jours en tenant scrupuleusement l’inventaire.
    Cette exception mise à part, on a tendance à limiter un maximum les interactions des Geiko avec des objets potentiellement dangereux pour eux ou pour autrui car certains ayant mal vécu d’avoir été floués et faits prisonniers ; on a conscience qu’ils peuvent être tentés de déraper. Ainsi, les rasoirs, les limes et autres pinces à épiler sont proscrits dans l’Okiya au même titre que les briquets ou les piques à cheveux en métal. Pour l’entretien de leur pilosité et de leurs ongles, les Geiko sont invités à fréquenter régulièrement le barbier, l’onglerie et le cabinet esthétique.
    Ils ont néanmoins un accès libre à tout ce qui peut se trouver dans la cuisine de l’Okiya sous l'œil averti de l’Intendant la plupart du temps car rares sont les cordons bleus parmi les Geiko (en général, ils n’ont pas le temps de faire leur propre popote).
    Un inventaire de tous les ustensiles et couverts est fait régulièrement pour s’assurer qu’aucun n’a été subtilisé. En plus de cela, les Geiko ont pour obligation de passer sous le portique de détection en quittant la Maison Dorée ou en la rejoignant. S’ils souhaitent y accéder par une porte annexe, ils doivent s’attendre à être fouillés et peuvent d’ailleurs l’être sans préavis à tous moments ainsi que leur chambre en cas de doute.
    Autant dire qu’un Geiko trouvé en possession d’un objet…proscrit passera un sale quart d’heure. Encore plus s’il a déjà tenté de s’en servir à des fins hostiles.


    Ont-ils des perspectives d’évolution professionnelle ou autre ?
    Au sein même de leur groupe, pas vraiment. Les Geiko commencent d’entrée de jeu dans la cour des grands et n’ont pas à suivre le même parcours initiatique que les Hanako ; vu qu’ils ont été enrôlés expressément pour des talents déjà démontrés à l’extérieur et entretenus depuis un très jeune âge pour certains. Sans parler de l’audition qu’ils ont forcément réussi avec brio pour se retrouver avec ce statut au Seven Sidh.
    La seule réelle promotion à laquelle un Geiko peut aspirer s’il a une foi en béton armé, c’est de passer Meijin après avoir fait montre d’une implication sans failles et s’être illustré auprès des dirigeants comme pouvant potentiellement être un élément de choix pour aider à administrer le complexe et en particulier le quartier Superbia. Mais pour ça, il faudrait que la valeur ajoutée qu’il soit susceptible d’apporter à la gérance du complexe soit supérieure à celle qu’il rapporte en tant que Geiko et qui est, faut-il le rappeler, la plus lucrative parmi toutes les prestations payantes proposées par le Seven Sidh.
    Autant dire que le calcul est en général vite fait…donc à moins d’avoir les cinq dirigeants dans la poche et une stratégie bien huilée, cela semble assez peu probable.
    En revanche, être déchu de son statut de Geiko est beaucoup plus plausible, que ça ait été voulu ou accidentel.
    Un Geiko envisagé comme un mauvais retour sur investissement qui ne s’implique pas assez sérieusement dans son rôle et a un comportement jugé ingrat et néfaste sera catapulté chez les Hanako au pied levé et…contraint de faire bonne impression comme courtisan s’il ne veut pas terminer au cachot voire pire.
    Dans le cas d’une blessure grave ou d’une maladie trop impactante et indépendante de sa volonté, un Geiko pourra passer définitivement ou temporairement Kinshin (tout en restant résident permanent et donc sans accès à un pass) et aider en coulisses en attendant de se remettre.
    L’obtention d’un Pink Pass (le Graal pour la liberté) sera très compliquée à obtenir pour un Geiko même condamné à ne plus pouvoir exercer son talent et cela se fera au cas par cas au bon vouloir des dirigeants.
    Mais depuis l’ouverture du complexe, jamais un Geiko n’a pu passer formellement Kinshin.
    Ses talents artistiques surpassant de loin n’importe quelle connaissance technique ou théorique qu’il pourrait avoir en plus d’être bien plus rentable pour le complexe.
    Sans parler du fait qu’en termes de ressources humaines, enrôler des Kinshin est généralement beaucoup plus simple que dégoter de potentiels Geiko. Le calcul est donc là encore vite fait.

    > Avant d’envisager un changement de groupe pour votre personnage, nous vous conseillons d’en référer au staff pour débattre de vos possibilités au vue du parcours de ce dernier. S’agissant d’une situation assez inédite, elle devra immanquablement être jouée inRP en compagnie d’acteurs concernés et être mentionnée dans le background de votre personnage après modif’ de sa fiche.

    © j a w n
    Dim 1 Sep 2024 - 23:44
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    Lord of the Sidh
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    GEIKO • 芸妓
    Ce que vous avez toujours voulu savoir.
    Accessibilité - Lieux de vie
    Où résident-ils/elles ?
    Dans l’Okiya (置屋 - Littéralement, Maison de Geishas), surnommée la Maison Dorée car s’inspirant directement du temple Kinkaku-ji ou pavillon d’or visible à Kyôto. C’en est une réplique assez fidèle même en termes de dimensions à ceci prêt que ses parois en bois ne sont pas réellement recouvertes de feuille d’or malgré que l’illusion soit parfaite. Pour la petite anecdote, l’Ochaya, voisine directe de l’Okiya de l’autre côté du jardin japonais est quant à elle inspirée du Ginkaku-ji ou pavillon d’argent, un autre temple très célèbre de l’ancienne capitale impériale japonaise.

    Quels sont les endroits qui leur sont interdits d’accès ?
    Nagisa car étant la zone de transit du complexe, tout Geiko qui essaierait de s’y rendre serait considéré comme un fuyard et…appréhendé en conséquence.
    Comme tout le monde, exception faite des Meijin, ils n’ont pas accès non plus au Gakejoû sauf sous bonne escorte s’ils doivent honorer un rendez-vous important ou être enfermés au cachot.
    Rien ne leur interdit d’entrer dans les Communs bien qu’ils n’aient…rien à y faire en théorie.
    L’accès à la Seirô n’est pas impossible mais très réglementé pour les Geiko même s’il s’agit d’une simple visite de courtoisie à un confrère Hanako. Il faudra toujours que cela se fasse avec la plus grande discrétion et avec l’approbation de l’Intendante de la Maison Verte.
    A part cela, ils sont libres d’aller et venir à peu près où bon leur semble sur l’île.
    Et bien entendu, à moins d'y avoir été conviés ; les Geiko n'ont pas intérêt à flâner dans les appartements de Tsukuyomi ou dans le bureau de Fujin aménagés au rez-de-chaussée de l’Okiya.

    Sont-ils/elles autorisés à quitter l’île ?
    En aucun cas. Le seul moyen pour un Geiko de quitter l’île temporairement, c’est que son état soit suffisamment préoccupant pour nécessiter une hospitalisation ou des examens urgents impossibles à pratiquer au Health Center ; amenant à ce qu’il soit transféré par hélicoptère à l’hôpital. Et même dans ce cas-là, il sera constamment sous la surveillance étroite d’un ou de plusieurs Meijin jusqu’à pouvoir rentrer au bercail.
    © j a w n
    Lun 2 Sep 2024 - 1:22
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    Lord of the Sidh
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    GEIKO • 芸妓
    Ce que vous avez toujours voulu savoir.
    Vie quotidienne - Dress Code
    Comment est organisée la vie à la Okiya ?
    Les Geiko jouissent d’une certaine autonomie dans la gestion de leur vie quotidienne ; après tout, ils ont été artistes avant leur arrivée au complexe et savent d’ors et déjà ce qui leur convient le mieux en termes de rythme et d’hygiène de vie.
    Si l’Intendant observe un certain laisser-aller ou une baisse de performances, il pourra y mettre son grain de sel.
    Etant donné que tous les artistes ont des horaires de travail assez similaires (qu’ils soient sur un rythme crépuscule ou nuit) en plus de passer un temps appréciable au Théâtre ; l’Okiya reste un lieu de résidence très calme, beaucoup moins animé que sa jumelle du quartier Luxuria.
    Le fait que chaque Geiko ait à sa disposition une chambre (insonorisée et avec rideaux occultants pour favoriser un repos réparateur en journée) et un cabinet de toilette (sanitaires, lavabo, bidet) individuels contribue à limiter l’esprit communautaire, beaucoup agissant comme s’ils étaient à l’hôtel plutôt que dans une auberge de jeunesse.
    Ils ont également à leur disposition trois salles de bain avec plusieurs douches et bassins pour ne pas avoir à tous se retrouver dans la même s’ils veulent un peu d’intimité. A noter que l’une d’entre elles est exclusivement réservée aux femmes (elles n’ont pas obligation d’y aller, en revanche, les hommes ont interdiction d’y accéder).
    Le gros du ménage (celui des parties communes) est à la charge d’une équipe de Kinshin qui gère l’entretien du quartier Superbia dans son ensemble. Ils interviennent deux fois par semaine et chaque Geiko peut leur notifier s’il souhaite ou non qu’ils passent dans sa chambre.
    Ces dernières n’étant de toutes façons pas verrouillables, Tsukuyomi y jette un œil régulièrement pour en contrôler l’état global et la propreté.
    Quant à la question des lessives, les Geiko s’auto-gèrent pour ce qui est de leurs vêtements “civils” en ayant tout pour s’en occuper à disposition dans la buanderie.
    Il ne leur est pas interdit de cuisiner s’ils en ont le temps et l’envie bénéficiant d’une cuisine toute équipée (avec plaques à induction, four, micro-ondes, lave-vaisselle, blender, cuiseur à riz, machine à pain, grille-pain, bouilloire, fontaine à eau, machine à café…) ainsi que d’un frigidaire et d’un sellier approvisionnés en produits frais chaque semaine.
    Mais comme la tendance est plutôt à la flemme, l’Intendant se dévoue avec l’appui d’un Kinshin cuisinier appelé ponctuellement pour préparer des bentô box variées à l’avance et en avoir toujours en stock.
    Dans la mesure où ils sont déjà énormément assistés pour pouvoir se consacrer à leurs performances scéniques et à leur bien-être ; les Geiko sont tout de même invités à prendre soin des lieux et à nettoyer après leur passage s’ils salissent ou utilisent de la vaisselle.
    Pour se retrouver, les Geiko peuvent prendre place dans une somptueuse salle à manger, un grand salon ou dans les boudoirs acoustiques. L’un d’entre eux comporte un piano à queue et tous deux sont spécialement dévolus à la pratique de la musique ou du chant/karaoke en mode loisirs sans que cela n’impacte le reste de la maisonnée niveau sonore. Beaucoup apprécient également se rendre sur la galerie-terrasse abritée côté jardin japonais pour se délasser ou vapoter/fumer car ils ne sont pas autorisés à le faire à l’intérieur.

    L’accès à l’Okiya est formellement interdit aux Seikaku et elle doit rester le point de chute à privilégier par les Geiko à la fin de leur journée. Il ne leur est pas interdit de découcher ou d’inviter des Hanako/des Kinshin à leur rendre visite mais cela devra toujours être cautionné par Tsukuyomi ou Fujin pour peu qu’il soit sur place. S’ils trouvent que la situation ne s’y prête pas pour une raison ou une autre, ils peuvent parfaitement refuser cette faveur au Geiko et il devra s’y tenir sans broncher.
    Les Meijin peuvent se rendre à l’Okiya sur invitation du Directeur artistique ou de l'Intendant mais doivent grandement limiter les visites de courtoisie hasardeuses.


    Sont-ils/elles autorisés à décorer/s’approprier leur chambre ?
    Dans la mesure où leurs chambres sont déjà richement décorées et comportent un mobilier d’une qualité appréciable, on incite plutôt les Geiko à entretenir ce qu’ils ont à leur disposition plutôt qu’à s’encombrer d’autres éléments même si ça n’est pas proscrit.
    Par ailleurs, aucune dégradation (volontaire ou accidentelle) n’étant bien tolérée à l’Okiya, les Geiko sont tenus de prendre soin de l’ensemble des locaux mis à leur disposition et…n’auront de toutes façons pas accès à du matériel de bricolage sauf cas exceptionnel et sous supervision de l’Intendant.

    Quelles sont les distractions/hobbies accessibles ?
    Pendant leurs jours de repos, les Geiko n’ont pas à porter de tenue particulière ni à arborer leur charme indigo (indiquant qu’ils sont en service ; pour éviter néanmoins toute ambiguïté sur leur groupe d’appartenance, il leur est demandé de garder leur pochette décorée sobrement bien en évidence) ; ce qui leur permet de profiter du complexe comme ils l’entendent même s’il leur est fortement préconisé d’éviter les pics d’affluence de Seikaku à certains endroits donnés, pour leur propre confort déjà et aussi parce qu’il est strictement interdit de fréquenter un Seikaku gratuitement en dehors de ses heures d’exercice…(tout finit par se savoir et par arriver aux oreilles de Tsukuyomi donc ils doivent rester très vigilants vis-à-vis de ça).
    En cela, il leur est toujours conseillé d’aller à contre-courant des habitudes de fréquentation des clients et de profiter du Luxuria et du Superbia en journée (plusieurs établissements leur sont ouverts voire carrément privatisés pour ceux n’ouvrant qu’à partir d’une certaine heure à la clientèle), ainsi que de l’Acedia en soirée. Autrement, ils peuvent très bien aviser en se renseignant auprès des différents accueils s’il serait opportun ou pas de s’adonner à telle activité à un moment précis car les réceptionnistes ont toujours accès en temps réel au taux d’affluence du complexe par zones/lieux.
    Mais en soi, ils peuvent pratiquer toutes sortes de sports, assister à différents cours au Stadium, à l’Ochaya (cérémonie du thé, calligraphie chinoise et japonaise), à l’Ukiyo (dessin, aquarelle)...
    Vu qu’ils y sont toujours fourrés en période de travail que ce soit pour les répétitions ou l’entraînement, on incite les Geiko en repos à déserter le Théâtre pour ne pas distraire leurs camarades ou emprunter des équipements qui pourraient davantage servir à ceux qui bossent…malgré qu’ils restent les bienvenus en tant que spectateurs “passifs”. On ne les empêchera pas non plus d’aider à l’organisation des shows s’ils sont au comble de l’ennui sans savoir quoi faire de leur temps libre.
    Néanmoins, s'ils souhaitent pratiquer un instrument ou chanter, ils ont meilleur temps de se rabattre sur les boudoirs acoustiques de la Maison Dorée.
    Dès lors qu’ils utilisent leurs propres deniers, en dehors du petit-déjeuner de l’Aurore qui est toujours offert ; ils peuvent boire et manger où ils le souhaitent (les différents points de restauration du complexe proposent toujours des tables un peu à part pour les résidents seuls) et faire vivre les commerces et services de la Galerie.
    Au Dit de l’Ecume, les Geiko peuvent avoir accès à des livres et des mangas, à un espace de rédaction et de papeterie pour leur courrier ; ainsi qu’à des ordinateurs s’ils veulent utiliser certains logiciels et accéder à leur espace Versus sur grand écran.
    Ils ont bien sûr autrement accès à tout le contenu shopping, VOD, gaming, musical et X directement via leur tablette.


    Quel dress code doivent-ils/elles respecter ?
    Il est assez compliqué d’établir avec précision le dress code que l’on s'attend à observer chez les Geiko.
    Ce qui est sûr, c’est qu’ils doivent en imposer et susciter instantanément l’admiration, l’envie de s’accaparer une partie de leur aura et de leur prestance naturelle.
    Là encore, avant d’être embauchés par le Seven Sidh ; ils ont eu le temps de se construire un personnage, une image de marque à même d’attirer à eux toutes sortes de publics et de sponsors. Ils sont censés savoir comment aimanter le feu des projecteurs sur eux sans forcément tomber dans l’ostentation pure comme les Higanbana ou dans un remake farfelu de la fashion week.
    Rien de plus facile quand ils arborent leurs tenues de scène ; qui en plus d’épouser leurs courbes à la perfection, font partie intégrante de leur show et participent activement à magnifier leur art.
    Mais même en dehors des spectacles, les Geiko doivent s’arranger pour rester les porte-étendards révérés du Superbia et arborer des tenues raffinés et élégantes qui suintent la classe par leur qualité…plus que par la quantité d’éléments ou d’ornements qui la composent. Ils n’ont normalement pas besoin de ces artifices pour attiser l’intérêt des Seikaku. Contrairement aux Hanako, c’est davantage un enchantement de l’esprit et une distraction intellectuelle qu’ils proposent, ce qui explique aussi cette démarche.
    Dès lors qu’ils conservent cette stature de vedette quand ils sont en service, on estime l’hypothétique dress code parfaitement respecté.
    > Les tenues de scène des Geiko sont conservées, nettoyées et reprisées dans l’atelier de couture du Théâtre. Chacune est étiquetée avec le pseudonyme de son porteur et déposée dans la loge correspondante le plus tôt possible en vue de la prochaine représentation à venir pour que l’artiste ait déjà tout à disposition au moment de se préparer. Du fait de leur relative fragilité combinée aux matériaux souvent précieux ou à minima de grande qualité qui les composent, il est demandé aux Geiko de s’en défaire le plus rapidement possible après la fin de leurs interventions scéniques et d’éviter de parader avec toute la nuit (sauf avis contraire d’un Seikaku très insistant).


    Et y a t’il des obligations esthétiques à respecter également (rasage, maquillage, bijoux, tatouages, coiffures…) ?
    Comme mentionné ci-dessus, c’est le “paraître” des Geiko dans son ensemble qui doit susciter une certaine convoitise mêlée d’émerveillement et participer au charisme qu’ils dégagent.
    En droite ligne, cela implique d’apporter un certain soin non seulement à ses atours mais aussi à sa personne.
    Bien qu’ils n’aient pas à autant jouer sur la sensorialité vis-à-vis des Seikaku et qu’ils puissent se permettre certaines libertés dont les Hanako sont privés notamment au niveau des parties du corps qu’ils ne sont pas censés dévoilées outre mesure ; les Geiko, en dignes descendants des arts se doivent d’être impeccables même dans leurs “imperfections” ou leurs fantaisies.
    En tant qu’artistes ayant chacun développé un univers qui leur est propre, certains vont forcément s’affranchir d’un certain cadre et afficher un style bien à eux.
    Ce qui va forcément se répercuter niveau maquillage, coiffures, accessoires et modifications corporelles.
    Dès lors que le tout reste harmonieux, dénote d’une certaine prestance et reste cohérent avec le persona affiché tout au long de sa carrière par le Geiko ; il n’y a aucun interdit formel.
    Bien sûr, on recommandera tout de même à tous en particulier aux femmes de fortement maîtriser leur pilosité et d’avoir toujours une manucure et un maquillage on point peu importe son intensité. De fournir également un effort supplémentaire dans le cas où un rapport sexuel tarifé se profile.
    Le seul paramètre n’étant pas franchement négociable pour les Geiko, c’est de prendre soin d’eux de manière générale. Ils sont mis dans les meilleures dispositions pour ça et n’ont de fait, pas le droit de se négliger, à plus forte raison quand ils sont en service mais pas que....
    Contrairement aux Hanako, ils ont une image de marque à conserver à chacune de leurs apparitions en public et se doivent d’y prêter attention même durant leurs jours off.


    Le petit plus qui les rends reconnaissables au premier coup d’oeil :
    > La pochette décorée d’insectes ou d’oiseaux avec ou sans le charme indigo
    > Un charisme hors du commun passant par une allure caractéristique et beaucoup d’élégance
    > Un parfum attirant mais discret qu’on ne décèle qu’en étant très proche d’eux
    > Ils sont les seuls à se produire sur scène au Théâtre et dans le quartier Superbia plus largement


    Peuvent-ils s’acheter ou se commander des vêtements/du stuff ?
    Bien sûr. Du moment qu’ils ont les fonds nécessaires, rien ne les empêche de passer commande sur le shop en ligne du Virtual Sidh (proposant essentiellement des vêtements, des chaussures, des cosmétiques et moult babioles ; en d’autres termes, rien qui pourrait s’avérer problématique) ou de fréquenter les boutiques du complexe. Cela s’avère d’ailleurs rapidement nécessaire car leur package de départ n’est pas très fourni en termes de garde-robe surtout s’ils sont arrivés au 7S avec très peu de bagages voire aucun.
    A noter que des changes basiques sont toujours disponibles dans la buanderie de l’Okiya pour dépanner.
    Quant aux tenues de scène, elles sont améliorées ou renouvelées assez régulièrement pour qu’aucune lassitude ne s’installe chez les spectateurs. Les Geiko peuvent parfaitement apporter leurs suggestions et travailler sur le sujet en collaboration avec les costumiers du Théâtre.


    Peuvent-ils avoir un animal de compagnie ?
    Pour des questions d’entretien et de logistique, les Geiko ne peuvent pas avoir d’animal de compagnie personnel. Néanmoins, beaucoup savent apprécier la proximité des petits passereaux (importés sur l’île) qui fréquentent les abords du jardin japonais et viennent régulièrement leur rendre visite surtout quand un peu de nourriture est laissée à leur attention sur la galerie-terrasse. Les moineaux du Japon en particulier sont très peu farouches et peuvent facilement venir picorer dans les mains ou se poser sur les épaules.
    © j a w n
    Lun 2 Sep 2024 - 2:34
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    Ce que vous avez toujours voulu savoir.
    Rapport à la santé et aux drogues
    Sont-ils/elles tenu(e)s de pratiquer une activité physique régulière ?
    C’est déjà le cas pour la plupart d’entre eux car ils sont soumis à des échauffements et divers entraînements avant chaque représentation.
    Là encore, chacun y va de sa petite routine et sait normalement à quoi s’en tenir pour rester en forme en adéquation avec la pratique de son art.
    Pour les Geiko dont l’implication “physique” est moindre tels les musiciens et les prestidigitateurs, il leur est vivement conseillé de pratiquer une activité sportive au moins une fois par semaine pour maintenir une bonne santé.

    En quoi consiste leur suivi médical de base ?
    On ne va pas se mentir, “résident permanent” étant une appellation enjolivée pour “captif”, les Geiko sont très étroitement suivis médicalement pour prévenir tout souci de santé ou baisse de moral. Demeurant, au même titre que les Hanako, la principale source de revenus du complexe ; il est primordial d’en prendre soin pour que leur rentabilité reste pérenne et leur popularité, toujours croissante.
    Dans un premier temps, pour des raisons sanitaires et…purement pratiques ; toutes les futures Geiko se verront affublées d’un stérilet ou d’un implant pour pallier tous risques de grossesse ou en tous cas, grandement le limiter. Cela aura également pour effet de diminuer considérablement leur flux menstruel et l’impact de leurs règles au quotidien, ce qui, en termes de rentabilité n’est pas négligeable non plus. Hélas pour les résidents permanents, à fortiori quand ce sont des femmes, leur sexualité ne leur appartient plus et devient partie intégrante d’un business très lucratif ; ce qui fait qu’ils n’ont plus leur mot à dire.
    En outre, peu importe ses antécédents, chaque Geiko aura un suivi psychologique obligatoire à raison d’une séance mensuelle minimum et devra passer par le cabinet de gynécologie-urologie-proctologie pour une visite de contrôle chaque mois. La propagation même peu probable d’une IST pouvant s'avérer cataclysmique pour le complexe et son rendement, ce suivi en particulier est pris très au sérieux.

    Parallèlement à cela, tous les Geiko sont invités à suivre les conseils d’un diététicien-nutritionniste pour savoir quoi manger (idéalement) et quand suivant leurs pratiques artistiques, leur corpulence et leur métabolisme histoire de maintenir une énergie optimale. Ils ont tous accès à leur “régime” personnalisé dans leur intranet Versus.

    Leurs performances impliquant immanquablement de répéter les mêmes gestes et mouvements, les Geiko ne peuvent pas faire l’impasse sur la kinésithérapie ou l’ostéopathie dans une moindre mesure. Si certains auront un réel besoin d’une séance par semaine, la plupart se contenteront de deux à trois séances par mois avec obligation d’honorer les rendez-vous. Aucun cadeau ne leur sera fait s’ils se blessent alors qu’ils ont manqué d’assiduité à ce niveau-là.

    Un check-up trimestriel chez le médecin généraliste est également de rigueur avec analyse de sang et d’urine, prise de tension et pesée si aucun souci particulier n’a été signalé par les autres spécialistes entretemps.
    Via son partenariat avec le Bantry General Hospital, il est possible pour le Seven Sidh d’y envoyer des Geiko sous bonne escorte pour tout autre examen plus spécifique mais très ponctuel (ophtalmologie, odontologie, réalisation d’imageries, etc…).

    Comment s’articule la prise d’un traitement si elle s’avère nécessaire ?
    Dans la mesure où il serait trop risqué de laisser une totale autonomie à un Geiko dans la prise de médicaments (parfois fortement dosés), le tout est très bien encadré.
    Tout dépendra de la forme que prendra le traitement et de la fréquence des prises.
    Comme il peut s’avérer très fastidieux et chronophage pour un Geiko de se rendre souvent au Health Center, seuls les traitements très spécifiques (à injecter et/ou à conserver au frais par exemple) y sont conservés et prodigués.
    Pour tout ce qui est médicaments/traitements par voie orale/vaginale/rectale/cutanée, la “pharmacie” est à la charge des Intendants de la Seirô et de l’Okiya. De la même façon qu’ils sont les seuls à avoir accès à la trousse de premiers secours, ils conservent sous clé les traitements de chacun de leurs pensionnaires et en connaissent la posologie par cœur.
    Pour les Geiko, c’est donc par Tsukuyomi qu’ils auront accès à leur traitement au compte-goutte et il veillera d’ailleurs à ce qu’ils le prennent correctement (c’est-à-dire en sa présence et à la bonne heure, que ça leur plaise ou non).
    Pour tout ce qui concerne des douleurs ou des bobos passagers, ce sera également à Tsukuyomi de décider quoi donner à qui après consultation téléphonique du médecin s' il a un doute, concernant les médicaments d’ordinaire accessibles librement sans ordonnance.
    Cela évite aux Geiko de se déplacer au Health Center pour un simple mal de crâne, une crampe d’estomac ou une insomnie..

    Peuvent-ils/elles bénéficier d’un arrêt maladie ?
    Oui, au même titre que tous les salariés du complexe. Faire travailler un Geiko malade ne servirait en rien les intérêts et la réputation du Seven Sidh alors si le médecin le juge nécessaire et opportun, il peut tout-à-fait prendre cette décision et…aucun Meijin ne pourra la remettre en cause.
    Durant sa convalescence, le Geiko sera au choix reçu en chambre médicalisée au Health Center ou sous l’étroite surveillance de l’Intendant à la Maison Dorée sans possibilité de sortir flâner. S’il doit sortir occasionnellement pour des soins ou du bien-être à l’Acedia, il devra être escorté obligatoirement.
    Sur son planning de réservations Virtual Sidh, les créneaux de location seront rendus indisponibles durant toute la durée de l’arrêt maladie et estampillés d’une petite croix verte pour indiquer sommairement aux Seikaku que le Geiko en question s’absente pour des raisons de santé.
    Les Seikaku ne sont pas autorisés à en savoir plus.

    Sont-ils/elles autorisé(e)s à consommer de l’alcool et dans quelles conditions ?
    Oui, avec modération, en étant à l’écoute de leurs limites et quand ils sont en service, en restant professionnels et maîtres d’eux-mêmes.
    Il est inconcevable pour un Geiko de perdre le contrôle face à un Seikaku et de mal se comporter, de ne plus être suffisamment lucide pour tenir une conversation ou parvenir à maintenir une certaine distance.
    N’importe quel Geiko qui se taperait publiquement l’affiche porterait directement atteinte à l’image de la troupe et se couvrir ainsi de ridicule ne sera pas sans conséquences.
    Pour tout dire, on ne laissera pas un Geiko développer de rapports problématiques à l’alcool, il sera recadré bien en amont ou rétrogradé si les esclandres causées par l'enivrement ont été trop visibles ou récurrentes.

    Même question concernant la drogue au sens large ?
    La marge de tolérance concernant l’usage de drogues (hors alcool) est très restreinte pour les Geiko. S’il y a risque de développer une dépendance dès la première prise, il leur est fortement déconseillé de s’y mettre histoire de préserver leur santé et surtout leur image de marque.
    Bien que certains Seikaku puissent être insistants et vouloir être accompagnés dans leurs activités jusqu’au bout, ce sera au Geiko de les raisonner et de défendre sa dignité toujours en y mettant les formes. Contrairement aux Hanako, les Geiko n’ont pas à obéir aveuglément aux moindres désirs de leurs adorateurs et sont donc censés pouvoir se préserver de toutes les dérives plus facilement.

    Chaque Geiko doit garder à l’esprit que le moindre problème de santé ou le plus petit scandale est susceptible d’empoisonner sa carrière et de mettre à mal sa popularité sur une période donnée…et pour cause, s’ils sont plutôt bien encadrés pour ne pas dire fliqués par moments dans le privé, ils jouissent d’une autonomie inégalable dans leurs rapports avec les Seikaku lors des locations. A eux donc de voir où se trouve leur intérêt et de ne pas trop jouer avec le feu.
    Pour ce qui est de la cigarette, les Geiko seront fortement encouragés à arrêter de fumer s’ils avaient cette mauvaise habitude avant d’arriver au complexe vis-à-vis de tout ce que ça implique de mauvais pour la santé et de rébarbatif niveau hygiène bucco-dentaire et odeurs. Le temps d’y parvenir, ils devront bien sûr être attentifs à tous ces détails potentiellement rebutants ou passer à la vapoteuse. Sans compter qu’ils ont interdiction formelle de se balader avec un briquet ou des allumettes.

    © j a w n
    Lun 2 Sep 2024 - 2:37
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    Ce que vous avez toujours voulu savoir.
    Emploi du temps indicatif

    Informations complémentaires :
    > Les Geiko, qu’ils soient en shift Crépuscule ou Nuit s’alignent sur un rythme continu d’environ 9 h de travail (en contact avec du public) et bénéficient de deux jours de repos fixes et consécutifs par semaine.

    Les shifts sont redistribués tous les trois jours environ et suivent les mouvements de plannings de réservations ainsi que la teneur des spectacles (qu’on essaye de varier même d’un soir à l’autre) :
    -Le Shift Crépuscule dit Shift C (modulable de 17h à 2h ou de 18h à 3h) est attribué aux Geiko qui n’ont pas de créneaux de location réservés après 2 h ou 3 h du matin et/ou qui ont des interventions mineures au sein du spectacle actuel. Pour compenser, ils gèrent l’animation du quartier Superbia entre 17 h - 18 h et 21 h et font montre de leurs talents à destination d’un large public sur l’Esplanade ou à l’Ochaya.
    Ils ne sont pas censés accepter de locations ou de tête-à-tête à ce moment-là, en revanche, ils peuvent rejoindre le Meeting d’avant-spectacle si les scènes hors Théâtre sont déjà toutes couvertes par d’autres artistes. En s’arrangeant avec leurs comparses, ils sont autorisés à prendre une pause de 30 min (ou 2 x 15 min) sur cette même période. Entre 21 h et 23 h 30, ils seront assignés au Théâtre pour mener le spectacle à bien et épauler les rôles majeurs.
    Par la suite, ils seront disponibles à la location sur une plage assez faible allant jusqu’à 3 h du matin maximum et seront ensuite vivement encouragés à prendre une collation, quitter leurs costumes et à aller se détendre (notamment au centre aquatique Sud-Est qui est entièrement privatisé pour les résidents à cette heure-ci). Ils peuvent même dormir un peu voire sauter le petit-déjeuner de l’Aurore s’ils sont vraiment nazes mais…c’est à éviter bien qu’on leur demande d’être debouts pour 13 h le jour-même s’ils rempilent en Shift C. Mais en soi, c’est à eux de gérer leur temps au mieux. Du moment qu’ils sont prêts pour leur apparition en public, faire la (très) grasse matinée n’est pas un souci.

    -Le Shift Nuit dit Shift N est attribué aux Geiko qui sont très demandés en termes de locations et/ou qui tiennent un rôle majeur au sein du spectacle actuel. Leur première apparition publique de la journée a lieu à 20 h lors du Meeting d’avant-spectacle devant le Théâtre où ils font tout simplement la promo de la représentation à venir auprès des Seikaku flânant dans le quartier Superbia. Ils peuvent aussi à cette occasion poser pour des photos et signer des autographes ou des estampes. A partir de 21 h et jusqu’à 23 h 30, ils seront accaparés par la représentation. Suite au tombé de rideau, on leur octroie une pause de 30 min jusqu’à minuit pour se changer et grignoter un truc avant d’embrayer sur leurs 5 heures de location non stop. Après un petit-déjeuner bien mérité durant l’Aurore, ils seront tenus de se reposer jusqu’à environ 14 h 30. S’ils n’ont pas à s’entraîner avec des Shifts C, ils peuvent à la limite retarder davantage le réveil.

    > Les phases de repos/congés sont visibles dans le planning car elles sont grisées et invalident automatiquement les créneaux de location associés (zone grise). Lesdits créneaux sont néanmoins débloquables par double validation (Geiko et Seikaku) si un Geiko a fait une bourde en arborant son charme indigo alors qu’il était de relâche ou s’il y a volonté de fréquenter un Seikaku en dehors de sa période effective de travail.
    En cas d’arrêt maladie, les créneaux sont complètement verrouillés (et pour cause, jamais un Geiko ne sera censé entrer en contact avec un Seikaku s’il se trouve mal en point car il sera mis en quarantaine au Health Center ou à la Maison Dorée).

    -L’intendant de son côté est toujours très matinal. Souvent levé avant 5 h, il va prendre le petit-déjeuner en compagnie des Geiko et essayer de les recenser discrètement en faisant une petite balade dans les trois quartiers. Une fois 7 h passée, il retournera à l’Okiya s’assurer que tout le monde est bien en train de se reposer et a rejoint sa chambre. Il sera ensuite en contact avec l’équipe du Théâtre pour faire l’inventaire des costumes et des accessoires, histoire d’aviser à qui il devra remonter les bretelles s’il manque des éléments et règlera d’autres affaires administratives ou logistiques. Si le besoin s’en fait sentir, Tsukuyomi conviera un Kinshin cuisinier à se joindre à lui sur les coups de 11h30 pour préparer des repas d’avance.
    Tout en veillant à ce que les Geiko n’abusent pas trop sur leur horaire de lever, il croisera chacun d’entre eux avant qu’ils ne se rendent à l’entraînement et généralement, à partir de 15 h 30 ; l’Okiya sera comme à l’habituée, quasi déserte.
    Ce qui laissera le champ libre aux équipes de nettoyage si elles doivent intervenir et permettra également à Tsukuyomi de travailler au calme. A partir de 17 h, il s’absentera de temps à autre pour assister en partie aux animations dispensées par les Shifts C et s’assurer qu’ils ne réservent pas leurs talents à un unique client.
    Après un rapide passage de relais avec Fujin, l’Intendant prendra le temps de dîner vers 20 h, laissant le soin à son supérieur de superviser le Meeting A-S et d’assister au spectacle. Pour sa part, il se couche vers 22 h après une ultime ronde dans la Maison Dorée.
    Les Geiko qui rentreraient au bercail avant 5 h sont fortement invités à le signaler en apposant leur signature horodatée dans un carnet relié déposé à même le vestibule de l’Okiya. Cela permet à Tsukuyomi d’avoir un suivi des entrées même durant son sommeil sans avoir à demander un rapport au videur systématiquement et…de ne pas courir vainement après les Geiko qu’il ne croiserait pas lors du petit-déjeuner.
    Bien sûr, il reste joignable à tous moments via son téléphone et sa radio branchée toute la nuit sur le canal d’urgence.

    Quand Fujin a des disponibilités dans son emploi du temps, il lui arrive d'élire domicile à l’Okiya (le plus souvent pour des demies journées, rarement sur des journées complètes) histoire d’octroyer un peu de temps libre à Tsukuyomi. Partageant la même vision, ils n’ont aucun mal à collaborer ensemble.

    Comment sont gérés les plannings et les locations ?
    Au même titre qu'un visiteur averti anticipe et prépare son voyage à Disneyland, il en est de même pour le complexe... Tout peut être fait en ligne via un accès sécurisé et absolument tous les services possibles et imaginables peuvent être réservés à l'avance et annulés jusqu'à J-7. Au-delà, tout est facturé car le complexe se doit d'avoir une organisation millimétrée pour gérer les emplois du temps de tout le monde.
    Il est bien sûr possible de faire des réservations instantanées sur place via les différentes réceptions mais...autant dire que tout dépendra des prestations souhaitées. On ne réserve pas la compagnie d'un Geiko ou d’un Higanbana comme on réserve une partie de mini-golf ou un cours de yoga…
    Du coup, les Seikaku les moins prévoyants menacent d'être déçus s'ils ne réservent pas suffisamment à l'avance leurs activités et...c'est tant pis pour eux.
    L'emploi du temps relatif aux locations des Geiko (entre minuit et 5 h) est généré automatiquement en étant relié aux données de la plate-forme Virtual Sidh et donc des réservations faites en ligne ou sur l'appli du complexe.
    Grâce à leur tablette, ils peuvent consulter en temps réel les mouvements dans leur planning, ce dernier ne se figeant qu'avec une semaine d'avance (en lien avec les conditions d'annulation proposées aux Seikaku).
    Une fois leur planning, fixe, ils peuvent aussi prendre eux-mêmes des rendez-vous médicaux s'il en ressentent le besoin ou même réserver des soins particuliers lors de leurs jours off (qu'ils payent avec leurs deniers sinon c'est pas drôle). En cas de bug ou d'anomalie sur leur emploi du temps, ils peuvent aller voir les ressources humaines au Gakejoû en urgence pour demander des explications et régler le souci.
    Si jamais un Seikaku n'honore pas le rdv qu'il a pris avec un Geiko, ce dernier est dans l’obligation d’aller animer l’Esplanade ou l’Ochaya après vingt minutes sans nouvelles du client et il doit signaler l'absence de ce dernier sur sa tablette.
    Les Seikaku ont accès à la messagerie d’un Geiko dès lors qu'ils ont pris rdv mais doivent dépenser des crédits pour lui écrire ; il est donc de bon ton de leur répondre.
    Une fois le rdv terminé, ils ne peuvent plus échanger par ce biais.
    A noter que les rdvs se font sur une base d'une heure minimum et que seule la location full time bénéficie d'un tarif préférentiel (c'est-à-dire quand un Seikaku décide de louer un Geiko de minuit à 5 h en continu).
    Il est possible pour un Seikaku de louer deux résidents à la fois (pas plus) pour peu que tous deux aient des créneaux libres au même moment mais cela est bien sûr conditionné par les shifts de chacun et par leurs attributions respectives.
    A ce titre, il est possible de louer un Higanbana et un Geiko ensemble (vu qu'ils ont tous deux des shifts de nuit) ou même deux Geiko à la fois. Vous ne voulez pas savoir le prix que ça coûte…

    Peuvent-ils/elles demander ou avoir des congés ?
    Oui, chaque Geiko possède un crédit de 14 jours de congés (non payés) par an qu’il pourra plaquer selon sa convenance dans son planning dès le 1er janvier. Les périodes de congés ne peuvent s’étendre que sur une semaine complète maximum, les jours restants devront être posés plus tard pour éviter que le Geiko en question ne se soustrait trop longtemps à la compagnie des Seikaku.
    Dans tous les cas, le plaquage d’un ou de plusieurs jours de congés devra être anticipé bien en amont et sera automatiquement refusé/impossible si un Seikaku a été plus rapide et a déjà réservé un créneau de location à la date souhaitée.
    D’où le fait qu’il soit conseillé de poser tous ses congés le plus tôt possible dans l’année.
    Sur son planning de réservations Virtual Sidh, les créneaux de location seront rendus indisponibles durant toute la durée des congés et estampillés d’un sigle doré “CX” pour indiquer sommairement aux Seikaku que le Geiko en question est en vacances.
    © j a w n
    Lun 2 Sep 2024 - 2:41
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    Ce que vous avez toujours voulu savoir.
    Interface de leur compte Virtual Sidh-VS-Versus
    Question ?
    réponse

    © j a w n
    Lun 2 Sep 2024 - 2:42
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    Ce que vous avez toujours voulu savoir.
    Vie privée - Relations
    Peuvent-ils entrer en contact avec leurs proches (extérieurs au complexe) ?
    Oui, uniquement par courrier.
    Les tablettes Versus des Geiko ne permettent pas de passer des appels, encore moins à l’extérieur de l’île. Quant aux messages vocaux ou écrits, ils ne peuvent évidemment être envoyés qu’aux autres détenteurs de comptes Versus.
    L’affranchissement et l’envoi seront gérés directement par le Préposé au courrier du Dit de l’Ecume qui sera autorisé à lire ledit courrier avant de l’expédier.
    Si un Geiko souhaite envoyer de l’argent à ses proches, il y aura des démarches supplémentaires à faire en demandant l’autorisation de se rendre à l'Administration du Gakejoû (le plus souvent par l’intermédiaire de Tsukuyomi). Une fois là-bas, il pourra demander à ce qu’une partie de son solde Okane soit amputée et transformée en argent physique qu’on lui délivrera sur place (la plupart des devises seront disponibles sans délai d’attente).
    L’argent en question sera placé dans une enveloppe cachetée spéciale que le Geiko pourra remettre au Dit de l’Ecume en même temps que sa lettre histoire que les fonds reviennent à ses proches.
    Chaque génération d’enveloppe de ce type est bien sûr signalée au Préposé pour qu’il soit attentif à leur bonne réception et puisse contrôler l’état du scellé.
    Bien que l’argent physique soit complètement obsolète pour toutes transactions sur l’île (tout transitant par la banque en ligne Okane propre au complexe), les Geiko peuvent être tentés de soudoyer des Kinshin voire des Meijin en leur proposant de l’argent pour qu’ils leur rendent des services à l’extérieur…d’où l’attention particulière portée au processus.

    Quelles relations sont-ils/elles autorisé(e)s à avoir avec les autres groupes ?
    Les Meijin étant leurs supérieurs (y compris ceux qui travaillent en marge du Superbia), les Geiko leur doivent une obéissance et un respect inconditionnels, surtout en public. Ils n’ont pas intérêt à fanfaronner à ce moment-là ou à se montrer trop complices avec eux, la hiérarchie devant toujours primer lors de réunions/d’entrevues professionnelles ou face aux Seikaku. Dans le cadre privé cependant, les relations peuvent être beaucoup plus nuancées au bon vouloir des Meijin même s’ils ont pour consigne de ne pas trop copiner avec leurs employés ou en tous cas, de leur rappeler quelle est leur position en dépit de toute complicité ou rapprochement. Rien de tout cela ne devra transparaître en public ou impacter négativement leurs missions respectives bien entendu.
    A fréquence raisonnable, les Meijin ont possibilité de verser des pourboires aux Geiko sans avoir à le justifier.

    Du moment que discrétion et professionnalisme restent les maîtres-mots, les Geiko peuvent entretenir n’importe quelle relation avec les Kinshin, les Hanako ou leurs semblables.
    Bien sûr, les Seikaku ne devront rien soupçonner des liens qui unissent les employés entre eux donc il leur appartiendra de bien jauger leurs échanges en public et surtout de donner la priorité absolue à leur travail.

    Concernant les Seikaku, le tout est d’entretenir chez eux un certain fanatisme et de dispenser par petites touches bien senties quelques preuves d’affection pour maintenir leur intérêt et en faire des mécènes accomplis. Bien que des liens profonds puissent naître de tels échanges aussi rares que précieux ; il sera primordial pour les Geiko d’arriver à faire la part des choses et de rester les amants superbes mais fictifs de toute une assistance et…non pas d’un unique privilégié. En soi, il ne tient qu’à lui de l’être du moment qu’il continue à y mettre le prix.

    Peuvent-ils/elles avoir un(e) petit(e) ami(e) ?
    Ce n’est pas interdit mais là encore, la discrétion sera de mise au contact des clients et ça ne devra avoir aucun impact négatif sur leur travail.

    Peuvent-ils/elles se marier ?
    Comme les Higanbana, les Geiko peuvent accéder à ce privilège et regagner leur “liberté” par ce biais, en épousant un Seikaku. Mais...ce n'est pas aussi simple à mettre en place.
    Déjà, autant pour les uns que pour les autres, il faut justifier d'un certain nombre d'années au service du complexe ou en tant que visiteur chevronné pour accéder à cette proposition.. Ensuite, il ne faut pas que la demande sorte miraculeusement de nulle part. On accordera beaucoup plus de crédibilité à un Seikaku qui a commencé à relationner de manière tarifé avec un résident depuis quelques années plutôt...que quelques mois. Le Seikaku en question se doit d'ailleurs d'être célibataire s'il souhaite formuler sa demande, c'est autrement impossible. Quant aux résidents, ils s'engagent à pistonner un remplaçant en vue de leur départ. Un Geiko pourra bénéficier de moyens supplémentaires pour démarcher des proches de son domaine artistique et se trouver un(e) filleul(e) en vue de son départ.
    Vous l'aurez compris, tout doit être mis en œuvre pour que leur “démission” impacte le moins possible la bonne marche du complexe et si toutes les conditions sont réunies ; le mariage est accepté et devra se dérouler dans les deux mois suivant le départ du résident.
    Le contrat de mariage devra être envoyé au complexe et faire foi.
    Par la suite, les tourtereaux seront bien sûr surveillés et sauront ce qui pèse sur eux si jamais ils vendent la mèche à propos du complexe et envisagent lui porter atteinte. Les conséquences peuvent vraiment être dramatiques mais s'ils se contentent de vivre leur vie de couple paisiblement, rien de mal n'est censé leur arriver.

    Sont-ils/elles autorisé(e)s à devenir parents ?
    Tant qu’ils officieront comme Geiko, impossible car toute leur attention doit être redirigée ailleurs et contribuer à remplir les caisses du Seven Sidh.
    Au-delà du fait qu’un enfant en bas âge n’aurait absolument pas sa place au complexe, cela mettrait un frein considérable à la carrière du Geiko concerné voire l’invaliderait totalement et…autant dire que les Meijin ne s’encombreront pas longtemps d’un élément jugé inutile.
    Le caractère non négociable du port de l’implant ou du stérilet pour les Geiko “heureuses” détentrices d’un vagin est de toutes façons censé grandement limiter les risques de grossesse surprise dans leurs rangs.
    Mais si ça devait arriver, cela serait vite détecté et interrompu dans la foulée.
    Quant aux hommes Geiko, si leurs rapports non protégés ont conduit à mettre enceintes des employées non résidentes ou des Seikaku ; ils n’auront aucun droit sur l’enfant à naître si jamais ces dernières décidaient de le garder et de l’élever à l’extérieur.
    © j a w n
    Lun 2 Sep 2024 - 2:44
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    GEIKO • 芸妓
    Ce que vous avez toujours voulu savoir.
    Devoirs à respecter
    Apparence :
    -> Toujours arborer sa pochette constellée de bestioles volantes et avoir sa tablette sur soi
    -> Toujours arborer le charme indigo en service (ne pas oublier de le retirer en repos !)
    -> Etre le digne ambassadeur du quartier Superbia en adoptant une posture impeccable
    -> Soigner chaque détail de ses atours pour faire rayonner sa personnalité propre
    -> Prendre soin de soi et de son auditoire
    -> Eviter de fumer/vapoter au contact des Seikaku

    Locations :
    -> Adhérer à la méthode de contraception féminine imposée
    -> Etre ponctuel
    -> Signaler toutes absences de Seikaku
    -> Ne pas accepter d’escorter gratuitement
    -> Répondre aux messages des Seikaku
    -> Délivrer des faveurs sexuelles au compte-goutte et leur donner une certaine signification
    -> Rester attentif à son planning et à sa cote de popularité
    -> Veiller à ce que les zones grises et les logos soient bien à jour (croix verte, R doré)
    -> Gérer au mieux ses pauses
    -> Raisonner sa consommation d’alcool
    -> Grandement limiter sa consommation de drogues
    -> Aller se produire sur l’Esplanade ou à l’Ochaya s’il n’y a pas de locations en cours
    -> Passer par les rdvs en zone grise pour fréquenter un Seikaku hors des périodes de travail

    Vie quotidienne :
    -> Obéir à l’Intendant Tsukuyomi et s’en remettre à ses conseils
    -> Prioriser les répétitions sur tout le reste
    -> Toujours passer le portique de sécurité de l’Okiya ou accepter de se faire fouiller
    -> Respecter les règles de vie en communauté
    -> Veiller à l’entretien de la Maison Dorée et au respect du mobilier
    -> Occuper sa propre chambre
    -> Veiller à s’alimenter et à se reposer comme il se doit
    -> Veiller à la bonne organisation de la buanderie, gérer son propre linge
    -> Nettoyer après chaque passage en cuisine en particulier la vaisselle utilisée
    -> Ne pas trop nourrir les oiseaux
    -> Eviter de faire l’impasse sur le petit-déjeuner de l’Aurore
    -> Faciliter un suivi médical assidu et honorer tous ses rdvs
    -> Emprunter les chemins de traverse pour se déplacer durant les temps de repos
    -> Ne pas chercher à se procurer d’objets dangereux ni les garder sur soi
    -> Ne pas chercher à accéder à Nagisa
    -> Ne se rendre au Gakejoû que sur invitation ou escorté
    -> Ne pas conserver ou dissimuler d’argent physique

    Vie sociale :
    -> Respecter l’autorité des Meijin
    -> Toujours faire preuve de professionnalisme et de discrétion face aux Seikaku
    -> Signaler à l’Intendant quand on découche
    -> Rester conscient que son courrier et sa messagerie VS peuvent être consultés
    © j a w n
    Lun 2 Sep 2024 - 2:49
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    Date d'inscription : 30/03/2024
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    GEIKO • 芸妓
    Ce que vous avez toujours voulu savoir.
    Infractions & Sanctions applicables
    Liste :
    • Détérioration - Vandalisme volontaire
    • Sabotage (volontaire ou accidentel) d’une représentation
    • Insubordination en public
    • Refus d’obéir à l’Intendant
    • Détention d’objet problématique (lame, briquet)
    • Détention d’argent physique
    • Conversation ou courrier problématique
    • Tentative d’évasion
    • Vol d’objet
    • Vol de pass / de tablette
    • Violence verbale / Harcèlement avéré (répété)
    • Violence physique
    • Automutilation (+ strangulation ou noyade)
    • Absence non justifiée au travail
    • Relation sexuelle non tarifée consentie avec un Seikaku
    • Plainte d’un Seikaku
    • Refus de se soumettre au suivi médical ou à la contraception féminine
    • Mauvaise volonté généralisée

    Tous les comportements listés ci-dessus ne sont bien évidemment pas égaux en termes de gravité mais ce sera surtout leur accumulation qui déterminera la teneur des sanctions à appliquer.
    Dans un premier temps, l’interlocuteur privilégié pour gérer le litige sera comme toujours Tsukuyomi qui cherchera à comprendre le pourquoi du comment et sera normalement à même d’aviser quoi faire et vers qui rediriger le Geiko dissident.
    Au choix directement dans le bureau du boss, Fujin (en général, pour une première bourde d’envergure, ça calme direct), au Health Center si le souci a l’air d’ordre psychologique ou de relever d’une santé fragile en général ou bien directement entre les mains de la Sécurité direction le cachot si le Geiko est un récidiviste indécrottable ou que sa faute est…passablement grave.
    Les “festivités” pratiquées au cachot iront crescendo pour faire plier le mental du Geiko et lui rappeler qui dirige. Cela ira de l’isolement dans une cellule plutôt correcte à l’isolement en étant enchaîné et privé de nourriture pendant un ou plusieurs jours.
    La violence physique sera limitée au maximum avec les Geiko pour ne pas endommager leur corps ou leur visage. Mais dans des cas extrêmes, ils pourront être violés par les bourreaux (avec des objets ou pas) pour briser leurs derniers élans de rébellion si l’intimidation verbale n’a pas porté ses fruits.

    Dans quelles conditions peuvent-ils/elles être condamné(e)s à mort par les dirigeants ?
    S’il n’y a eu aucune amélioration dans le comportement du Geiko malgré des séjours récurrents au cachot et qu’il s’avère être une perte sèche de revenus pour le Seven Sidh et/ou qu’il finit par entacher la réputation du complexe ; les dirigeants n’hésiteront pas à s’en débarrasser. Concernant les Geiko plus particulièrement, Fujin est censé avoir le dernier mot voire procéder lui-même à l'exécution même s’il peut déléguer cela à un autre dirigeant ou à un bourreau.
    Dans un souci de préservation des organes internes dont la plupart seront prélevés pour être revendus au marché noir, on procède bien souvent par étouffement ou étranglement pour réduire un Geiko au silence.

    © j a w n
    Lun 2 Sep 2024 - 2:51
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